Origine du travestissement

Bravo pour ce beau témoignage qui nous rappelle nos débuts

Super parcours

Super approche moi c'est en Thaïlande que j'ai découvert et oui me suis dis pourquoi pas moi..que du bonheur avec des talons...

Jolie reçit c est vrai ce lancer c est pas facile biz

Bjr à toute moi à l'âge de 12 ans javais une voisine de mon âge qui venait chez moi et un jour on a échanger nos vêtements il a pris ton même mis slip j'ai fait pareil et ce jour là elle portait un collant j'ai adoré et on a recommencé plusieurs fois jusqu'au jour où elle ma demanader de lembrassé j'ai eu une érection elle ma dit et bien tu fais quoi avec ton zizi jetais rouge de honte j'ai compris que jaimerai me travestir plusieurs années après je les revues on a bu un verre parler de tout et elle ma dit tu de souvient quand on échangeait nos vêtements la je lui dit directement oui et moi j'ai continué à en porter elle me regarde et me dit comment ça je lui montré que je porte un string et des bas sous mon pantalon elle rougit et me vient dans les toilettes j'ai envie de voir et la je me suis mis à bandés elle a vue la bosse et directement est venu me sucer elle a adoré me voir en dessous de fille on condinuer a ce voir elle ma même acheter des vêtements de fille pour mon anniversaire et ce jour là elle ma demander des les porter devant elle on a passé la nuit ensemble elle est reparti et on s'est quittée quelques temps après je ne les jamais revues voilà ma première fois en fille

Moi aussi à l'adolescence j'étais très attirée par la lingerie et je feuilletais le magazine la Redoute que ma mère recevait. Mais bien plus tard à l'âge de 22 ans je franchissais le pas en portant des bas noir, pour avoir une relation sexuelle avec la fille avec qui j'étais.Mon côté bisexuel n'était pas encore développé et tout a commencé avec le fétichisme des bas, jarretelles, string et talon haut. Ma bisexualité s'est réveillée bien des années plus tard à l'âge de 35 ans ou j'ai eu mes premières expériences avec des couples dont l'homme était bi actif. A cette époque je ne recherchais que des couples. Puis plus j'ai pris du plaisir à me faire prendre, à adorer la bites, que ma recherche s'est également orientée vers les hommes bisexuel seules.Mon côté lesbienne a fait surface le jour où je me suis gouinée avec une copine trave qui comme moi était active et passive nous avons passé un après-midi chaud dans tous les sens du terme ensemble. Aujourd'hui ma sexualité ne se fait qu'en étant en travestie, si je ne suis pas en femme je ne peux plus avoir de relations sexuelles. J'aime les hommes, les couples, et bien évidement vous les copines avec lesquelles c'est toujours un plaisir de lâcher prise dans des moments de sensualité et de porno chic. Voilà mon parcours

Ce sujet fetish des jambes gainées de soie ou nylon. Je valide. Souvenirs d'enfance. Par contre le goût du travestissement pour moi se rapporte à mon souhait de devenir la femme que j'aurais aimer avoir.

Voilà une question qui nous prend aux tripes ! Autant j'assume mon coté masculin, autant ce coté féminin est là, tapit dans l'ombre, avec une envie de plus en plus assumée. Ce besoin vécu très tôt dans l'adolescence mais refoulé pendant des années pour répondre aux exigences de la société... Je lâche prise ! je n'ai qu'une vie, et avec l'âge, je m'en fout ! j'assume. Comme je dis: Ca te plait, tant mieux... tu t'en fous, parfait... Ca te plait pas, j'en ai rien à foutre !!!

Moi je me suis aperçu que mes potes HETERO, ne voulaient pas de mec, mais ils étaient ouvert pour les trav et trans. Alors je me suis dit qu'il y avait un énorme potentiel mondial. Résultat : je me suis fait des supers beaux gosses en travesti que je n'aurais jamais pu faire en mec.

Perso, je ne pourrais plus dire depuis quand exactement mais déjà jeune je jouais avec les affaires de ma mère, ensuite bien plus tard un jour mon épouse m'a acheté une de dessous féminin string et soutien Georges et une paire de collants plumetis pour s'amuser et inverser les rôles. Elle m'a maquillée prêtée des sandales, Elle a pu constater que cela m'avait beaucoup plus nous avons continué occasionnellement ce n'est pas rituel. Maintenant j'achète moi même et je sors parfois en nana ? j'essaie toujours d'être crédible voili voilou, que du plaisir…

J'allais oublié une photo

Pour moi ca remonte vers 12-13 ans quand on s'amusait a se déguiser avec ma soeur et une journée on a fini toutes les deux en princesses et j'ai adorée. On a continuer et pour aller un peu plus loin, j'ai mis des talons, puis du maquillage et je le trouvais vraiment belle. J'ai ensuite continuer en empruntant leurs vêtements en cachette jusqu'à commencer ma garde robe

1978 j avais 8 ans on ma diagnostiqué schyzo trouble de la personnalité c etait tres tot et oui en general c vers 20 ans, a 15 ans j ai fuit la famille pour vivre ce qui je suis et avec le temps des depression a répètition un male etre etre une femme piegée dans ce corps d homme et voila

Bonsoir ce fut mon cas aussi, a l'adolescence j'ai mis des bas nuisette et talons aiguilles et j'ai adoré et depuis c'est resté

Bonjour, pour ma part mon parcours a été presque le même, je me travestissais quand j'étais seule a la maison car j'avais la chance dans le faites que les parents travaillaient tous les deux de postes, et en ce qui concernait le sexe, avec un ami de mon village, un soir ou il dormait chez moi, on faisait les cons, et une chose emmenant une autre, ont a sorti nos sexe pour se branler, on avait 13 ans, et peu après, en fin d'après midi, il me demandait si sa le disait de venir chez lui car ces parents n'etaient pas la, une fois chez lui, il sorta une cassette d'un film porno, on etait gêner au début jusqu'à qu'il me propose de se branler, on se mit a poil et on se branla, chacun sur sois, et d'un coup il le demande si je serais intéressé par porter de la lingerie de sa mere, j'ai accepté bien sur, il me sort des bas, culotte jupe talons, une fois habillé ont c'est allongé sur le lit et je les sucer, bon sa n'a pas duré longtemps, on remettait sa régulièrement, sa ete que pipe entre nous, et de la je n'ai plus jamais arreter