L’INITIATION DE CAMILLE - chapitre 8

Chapître 8- Monsieur et Alice : la confession à genoux Depuis l'épisode avec Serguei Rostov, j'étais devenue l'assistante de Direction de Monsieur à part entière. Il n'y avait plus aucune allusion d'une quelconque remise en question de mon poste. Je passais mes journées en femme. Toujours très sexy. Et Monsieur semblait très satisfait de son assistante. La seule évolution, était un petit changement dans le comportement de Monsieur. Désormais quand je venais dans son bureau et que je devais lui présenter un document à côté de lui, celui-ci avait pris l'habitude de m'écouter et de dialoguer avec moi en glissant sa main sous ma jupe. Comme si nos répétitions pour l'entretien avec Serguei Rostov se poursuivaient. C'était une sorte d'accord tacite. L'état de mes strings attestait que j'aimais ces moments. Monsieur n'allait jamais plus loin. De mon côté, je ne portais plus que des bas et des porte-jarretelles. Plus les jours passaient et plus ma garde-robe se garnissait. Et plus je me permettais des tenues sexy. Monsieur ne faisait jamais de commentaires. Ce jour-là, je testais une nouvelle tenue. Une mini-jupe noire en vinyle avec des cuissardes également noires brillantes à talons aiguilles. Un haut transparent noir qui laissait totalement voir mon soutien-gorge en dentelles. Seule touche sage, un petit blazer qui cachait un peu mon haut transparent. Pour porter une mini-jupe si courte, je portais exceptionnellement des collants en nylon noir très fins. Ce matin-là, par chance, Monsieur ne m'avait pas glissé sa main sous ma jupe. Une fois notre séance terminée, Monsieur me demanda de bien vouloir appeler Alice pour qu'elle se présente tout de suite au bureau. Vous lui direz que j'ai besoin de la voir pour évoquer la faute qu'elle a commise ce matin, elle comprendra. J'appelais Alice immédiatement au téléphone intérieur. Elle arriva deux minutes plus tard. Ce n'était pas la Alice que je connaissais. Elle était sombre, le visage fermé et penché vers le sol. Elle ne prononça pas un mot en passant devant moi. Frappa à la porte de Monsieur, et entra. J'entendais le bruit sourd d'une conversation animée à travers la porte de séparation entre mon bureau et celui de Monsieur. Je restais à ma place sans céder à la tentation d'aller écouter à la porte. La voix grave de Monsieur s'imposait et je n'entendais que des murmures de l'habituelle exubérante Alice. Cela dura de longues minutes, sans je puisse déduire quoique ce soit. Malgré ma tenue très sexy, je m'évertuais de me concentrer sur mon travail. J'étais toujours aussi surprise de ma féminité, devenue certain jours une féminité torride. Puis, j'entendis des claquements secs venir du bureau de Monsieur et des petits cris étouffés. Alice bien entendu, qui d'autre ? J'allais m'approcher de la porte, lorsque la sonnette du bas de l'Hôtel Saint Just sonna. Un coursier. J'ouvrais la clenche électrique et me réinstallait au bureau. Depuis quelques temps, je prenais un malin plaisir à provoquer mes visiteurs. Le coursier frappa et entra. La première chose qu'il vit, c'est une petite assistante bien maquillée avec de jolies boucles d'oreilles pendantes dorées. J'écartais légèrement ma petite veste noire afin de laisser apparaitre la transparence de mon haut noir. Je voyais le coursier avec son casque relevé commencer à me fixer et surtout mes seins. Je me levais en disant candidement : Il y a quelque chose à signer, je suppose ? Et là il me découvrait debout, dans ma micro-jupe en vinyle noire et surtout les cuissardes aux talons aiguilles interminables. Je regardais le coursier qui lui avait les yeux fixés sur mes jambes, c'était si drôle. Il ne se rendait même pas compte que je l'observais. Tout va bien ? dis-je. Puis-je avoir le papier ? Et là, je saisissais le bon et me dirigeais vers mon bureau. Je ne le contournais pas mais restait bien de dos dans le champ de vision du coursier. Je posais le bon sur le bureau, prenais mon temps pour choisir mon crayon. Et me penchais bien en avant, pour m'appliquer à signer. Souvent, malencontreusement le crayon ne fonctionnait pas et je devais me pencher encore plus sur mon bureau pour saisir comme par hasard un crayon le plus éloigné de moi. En général je me retournais et regardais la braguette du coursier afin de constater si mon petit jeu avait fonctionné. Soudain, la porte du bureau de Monsieur s'ouvrit. Il avait l'air agacé. J'avais les fesses bien tendues, tout comme mes jambes gainées de nylon noir. Monsieur regarda la scène en comprenant immédiatement ce qu'il était en train de se tramer entre moi et le coursier. Camille, quand vous aurez fini de jouer avec ce malheureux coursier, rejoignez-moi dans mon bureau, j'ai à vous parler. Et surtout Alice ! L'interpellation avait été sèche. Je ne trainais et mis dehors le coursier. Le pauvre était totalement déboussolé. Je frappais à la porte et entrais. Ce que je vis à cet instant, fut le moment où ma vie bascula, c'est certain. Je le sus après mais, c'est bien à cet instant que je devins la Camille d'aujourd'hui qui vous écrit. Alice était de dos, debout, les mains posées à plat sur le bureau de Monsieur. Le corps penché à 90 degrés, les jambes tendues et écartées. Sa jupe était relevée sur ses hanches. Son string tombé à ses pieds, restait encore accroché à l'une de ses chevilles. Ses magnifiques fesses étaient encadrées d'un jolie porte-jarretelles rose à 6 branches. La scène était saisissante bien entendu. Mais au-delà, c'était la vue d'ensemble qui me laissait sans voix. Monsieur tenait dans sa main une cravache. Et Alice, avait les fesses zébrées. De grandes marques rouge, si fortes que l'on voyait même la marque du triangle de cuir qui termine en général les cravaches. Alice avait les fesses imprimées de marques de coups cravache. Camille, je crois que Alice vous doit des explications, que pour ma part je pensais qu'elle vous avait déjà données. Il commanda à Alice de se relever et de baisser sa jupe. Alice s'exécuta et se retourna vers moi, honteuse. Ne vous laissez pas attendrir par l'attitude d'Alice. Au fonds d'elle, elle aime qu'on la regarde dans ce genre de situation. Elle aime être vue, n'est-ce pas Alice. Oui Monsieur, répondit Alice dans un murmure Et peut-on dire, que vous acceptez d'être punie ? Oui Monsieur, je dois être punie quand je désobéi ou que je fais une faute, poursuivit Alice Et peut-on également dire, que vous aimez être punie de la sorte ? Oui Monsieur, j'aime quand vous me mettez à la place que je dois occuper Et quelle est cette place Alice ? Nous vous écoutons ! Celle d'une soumise Monsieur Nous n'avons pas bien entendu Alice, qu'êtes-vous ? Une soumise, Monsieur, une soumise dont il faut user et abuser. Je suis un objet à votre disposition et souhaite être traité comme tel. Un objet ! voilà une définition intéressante. Gardez cela en mémoire Camille, un objet ! Et confirmez à Camille un point : êtes-vous consentante ? Vous ai-je forcé à quoique ce soit ou demandé de jouer ce rôle ? Non Monsieur, je suis totalement consentante Développez Alice pour que Camille comprenne bien Parce que c'est moi qui vous l'ai demandé ! dis Alice dans un aveu terrible Monsieur reprit et intima un ordre à Alice, auquel visiblement elle était habituée Aux pieds Alice Et immédiatement, Alice s'agenouilla aux pieds de Monsieur. Les mains dans le dos. Le corps bien droit. La bouche Alice Alice ouvrit la bouche bien grande. Monsieur glissa la cravache en travers de ses lèvres. Alice mordit la cravache pour bien la tenir servilement. Asseyons-nous Camille, dit Monsieur. Je vais vous raconter la fin de l'histoire que Camille ne vous a pas donnée lorsqu'elle vous a expliqué comment elle était rentrée à mon service. Nous nous trouvions dans une situation totalement surréaliste. J'étais assise en face de Monsieur dans un confortable fauteuil. Et Alice était entre nous, à genoux les mains dans le dos, une cravache entre les dents. C'est ainsi que Monsieur m'expliqua qu'Alice une fois présentée dans sa tenue de soubrette lui avait avoué sa réelle condition, celle de soumise et son désir profond de l'être auprès de Monsieur. Monsieur poursuivis en me racontant le détail de cette conversation qui avait fini pour Alice en la signature de son contrat d'embauche, avec une annexe entièrement dédiée au détail de sa soumission. Le tout avait été signé en 3 exemplaires, dont un exemplaire déposé chez un notaire. Exemplaire qu'Alice dû d'ailleurs amener elle-même chez le notaire, le lire à voix haute devant l'officier ministériel, qui l'écouta on l'imagine avec concupiscence avant de le classer. J'apprendrais plus tard comment le contrat entre Monsieur et Alice avait été signé en réalité. Monsieur demanda à Alice de se mettre à quatre pattes, le contrat devant ses yeux posé au sol. Pendant qu'elle relisait les termes de son engagement. Monsieur releva sa robe de soubrette. Alice entendit le pantalon de Monsieur tomber au sol. Monsieur la pénétra pendant toute la lecture. Une fois la lecture terminée, il lui demanda de relire à nouveau l'annexe du contrat dédié à la soumission d'Alice et à voix haute. Ainsi, il lui demanda ainsi 4 fois de relire de plus en plus fort. Jusqu'à ce que Monsieur jouisse. Alice apprit ensuite à bien nettoyer avec sa bouche le sexe de Monsieur après usage. Monsieur, reprit la parole Bien, Camille, vous savez tout désormais d'Alice. Je tenais à ce que les choses soient dites. Et que vous sachiez dans quel environnement vous évoluez ici. J'ai horreur de me cacher et je veux pouvoir disposer de ma soumise à tout instant, même pendant les heures de bureau. J'espère que cette situation ne vous incommode pas Camille ? Dites-le-moi, sincèrement Camille. Tout cela est très nouveau pour moi Monsieur. Mais je crois que je vais vite m'y habituer, dis-je A la bonne heure, je n'en attendais pas moins de vous Camille ! Bien, il temps de reprendre le travail. Allez chercher votre bloc note et rejoignez-moi dans 5 minutes. Alice doit finir sa tâche quotidienne Cinq minutes plus tard, je me présentais au bureau de Monsieur. Alice était sous le bureau de Monsieur en guêpière en train de sucer Monsieur. Très naturellement Monsieur me dit : Nous n'en n'avons pas terminé avec Alice, cela ne vous dérange pas si elle poursuit ? Ou sinon je vous demande de revenir dans quelques minutes ? ou je lui demande de revenir ? Je répondis par ces mots à Monsieur, qui apprécia le trait d'esprit : Vous savez Monsieur, s'il fallait retirer un objet quand j'entre dans une pièce, il faudrait alors tous les retirer. Monsieur souri et commença à me dicter son courrier. J'étais pour ma part trempée d'excitation de ce que je venais de vivre. Mon fauteuil était suffisamment reculé pour que Monsieur me voit en entier. Je décidais de croiser mes jambes gainées de noir. Les cuissardes firent un bruit de frottement propres à ce type de matière en vinyle. Ma micro-jupe se révéla un peu. Je posais sur mon genou ma main droite en faisant crisser mes ongles rouges brillant sur le nylon. Monsieur me regardait. Je fis glisser doucement cette main vers l'ouverture de ma jupe, sans aller plus loin. Alice continuait son oeuvre consciencieusement sans rien voir de ce petit manège entre Monsieur et moi. Monsieur me regarda alors intensément. - Camille, pouvez-vous vous approcher, et me montrer vos notes. Je me levais, sachant pertinemment qu'il allait se passer quelque chose. Je m'approchais à la droite de Monsieur. Je voyais la tête d'Alice s'activer sur le sexe de Monsieur. Je montrais mon bloc à Monsieur qui comme d'habitude dans cette position glissait sa main sous ma jupe. Vous portez des collants Camille ? Oui Monsieur, ma jupe est si courte, que les collants sont plus adaptés Adaptés pour qui ? En tous cas pas pour tout le monde Je vous prie de m'excuser Monsieur. Essayons de régler cet impair, voulez-vous Camille ? Et Monsieur remonta sa main sous ma jupe. Il fit glisser ses 2 index très haut au niveau de mon entre jambes, et d'un geste les écarta en formant un V avec ses doigts. Je compris sa demande que j'écarte mes cuisses. Pour la première fois, sa main arriva au niveau de mon sexe. J'étais campé sur les talons aiguilles, la jupe se relevant au fur et à mesure que j'écartais mes cuisses. Camille, expliquez-moi ce trou que je découvre dans votre collant J'étais terriblement gênée. Son index désormais, titillait mon pénis replié dans mon string. Je vous écoute Camille. Reprit Monsieur He bien, quand j'ai une envie, je peux plus facilement accéder à …. Dis-je évasivement sans vraiment répondre. Je commençais à avoir le souffle court. Une envie, j'imagine que cette envie ce n'est pas d'aller aux toilettes, Camille ? Effectivement Monsieur, je ne peux rien vous cacher Soyez plus précise Camille, poursuivit Monsieur en continuant la pression de ses doigts au travers de ma petite culotte. Car à cet instant, je constate que vous êtes trempée. Je dois vous avouer Monsieur que parfois je me touche au bureau Et vous sortez votre sexe ainsi pendant le travail Camille ? Oui Monsieur, dis-je honteuse Comme ceci ? et en disant cela, il sorti mon clito en écartant mon petit string. Il l'avait maintenant bien en main et le serrait doucement. Je commençais à haleter Suis-je sur le bon chemin Camille ? Oui, Monsieur vous avez ouvert la bonne porte. Mon sexe était désormais dur et tendu. Monsieur commença des mouvements de va et vient en tenant mon pénis bien vers le bas. J'avais l'impression qu'il était en train de me traire. Penchez-vous en avant et reprenez votre prise de note Camille, dis Monsieur Et me voilà, ma mini-jupe en vinyle relevée, penchée à 90 degrés sur le bureau en train de me faire masturber tout continuant à prendre de notes sous la dictée de Monsieur. Il semblait imperturbable. Pourtant, il arriva ce qui devait arriver. Monsieur jouit enfin dans la bouche d'Alice et tout cela bien évidemment devant moi. Il termina néanmoins les derniers mots du courrier dans un râle. Alice poursuivait sa fellation pour bien nettoyer le sexe de Monsieur. Monsieur accéléra son mouvement de va et vient sur mon sexe. Je jouis vers le bas à mon tour, les jambes écartées souillant le sol et mes cuissardes en vinyle noir brillant. Mon corps était avachi sur le bureau sans aucune retenue. Je haletais de jouissance et d'épuisement. J'entendis Monsieur s'adresser à Alice Alice, avancez-vous en restant bien à votre place de soumise c'est-à-dire à quatre pattes, et nettoyez ce sol avec votre langue. Alice lécha au sol ma semence comme une petite chienne. Monsieur regardait. Il avait conservé dans sa main mon sexe. Je voyais pour ma part son sexe sortir de sa braguette. A repos il était encore énorme. Je sentis mon clito reprendre. Et Monsieur le sentit bien entendu également dans sa main. Quelle vigueur, Camille ! dit Monsieur Il regarda à nouveau Alice Il en reste sur les cuissardes de Camille, appliquez-vous Alice ! Alice, se mit à lécher mes cuissardes consciencieusement. J'étais désormais devant Monsieur le sexe à nouveau dressé et Alice à mes pieds en train de me lécher les bottes, et cela au sens propre du terme. Monsieur pris alors Alice par les cheveux et releva sa tête au niveau de mon clito, à nouveau en rut. Allez ma soumise, c'est le moment de soulager les tourments de notre insatiable Camille ! Alice pris mon sexe en bouche devant Monsieur. Les mains dans le dos Alice, ordonna Monsieur ; vous aussi Camille C'était le premier ordre que me donnait Monsieur. Le premier d'une longue liste à suivre. Il serra fermement les cheveux d'Alice d'une main puissante et exerça des mouvements de va et vient de la bouche d'Alice sur mon clito. Je ne pus que jouir rapidement tellement la situation était folle. Alice bu à nouveau ma jouissance. Monsieur reprit alors son attitude habituelle Notre pause est terminée Mesdemoiselles. Reprenons notre travail si vous le voulez bienhttps://divineva.com/forum/nos-histoires-coquines-23/l-initiation-de-camille-chapitre-8-50470

Dernière réponse le 19 février
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Photo de StephanieSissy
57 • StephanieSissy
444 km • Travesti
a publié ce sujet le 18 février
Lorena0069
60 • Lorena0069
Vraiment très bien, merci!!!
Le 18 fev
fanytv
46 • fanytv
Un nouveau chapitre très sexy et plein de soumission. Alice est en règle car elle travaille pour Monsieur sous contrat. Camille quant à elle est dans l'illégalité et j'ai hâte de lire la façon dont elle va signer son contrat. Les ordres de Monsieur nous semblent nombreux et j'ai très envie de lire toutes les exigences qu'il pourra avoir pour son personnel... Oui vivement la suite..........
Le 19 fev