L’INITIATION DE CAMILLE -Chapitre 6
Chapitre 6 - La préparation du rendez-vous avec Serguei ROSTOV Un soir de fin de semaine Alice vint en panique à mon appartement. Il faut que je dise quelque chose mais tu ne dis rien. Tu ne dis pas que cela vient de moi. Même si cela sera difficile à cacher. Mais quoi s'agit-il ? dis-je Monsieur m'a demandé de relancer le processus de recrutement pour une assistante Quoi, c'est pas vrai. Oh non ! Je t'assure ! Il vient de me convoquer dans son bureau. J'ai bien dit évidemment à quel point tu donnais satisfaction Mais qu'est-ce qui s'est passé finalement pour qu'on en arrive là ? Je sentais moi aussi la pression qui montait et même la panique En fait, je pense que c'est l'arrivée de son plus gros client qui le tracasse C'est qui ? Il s'appelle Sergueï Rostov, c'est un client russe. Il aime les femmes françaises et Monsieur sait que c'est un élément essentiel dans la négociation et la vente des diamants. Il ne vient qu'une fois par an et cela se passe bien. L'assistante et Monsieur ont un scénario assez bien huilé. Et à chaque fois cela débouche sur une grosse commande. Mais pourquoi Monsieur ne demande pas que tu interviennes. Tu pourrais parfaitement faire le job. Non il veut une assistante qui parle russe, c'est impératif. Donc il m'a demandé de trouver tout bêtement une interprète qui soit à la hauteur de la féminité que Monsieur attend. J'ai une semaine pour trouver la perle rare. Et moi dans tout ça ? Toi, j'avoue que je suis inquiète. Car monsieur en général ne fait pas dans le détail. Soit cela fonctionne et tu as tout, soit cela ne fonctionne pas et tu quittes le bateau Je commençais à sangloter. Je voyais bien qu'il n'y avait plus qu'une seule solution. Solution qui de toute façon était inévitable. Je me cachais la vérité depuis plusieurs semaines. J'en avais soudain conscience. Depuis que j'étais à l'hôtel Saint-Just, je voyais bien que chaque jour j'assumais de plus en plus mon côté féminin. Et que cela me plaisait -Il faut que je fasse comme toi, dis-je -Comme moi, comment ça ? dis Alice -Oui devenir une femme comme toi - Tu oublies une chose Camille, c'est que moi je vis comme une femme depuis très longtemps dans ma tête. Alors que ce n'est pas ton cas. - Oui tu as raison mais si on y pense, imagine comment j'ai pu vivre mon enfance où j'ai cru pendant des années être tout simplement une fille. Et qu'est ce qu'il reste vraiment de cette époque aujourd'hui dans ma tête ? -Qu'est-ce que tu proposes ? - Tu m'aides à me métamorphoser ce week-end et lundi matin, je vais au bureau en petite jupe maquillée, talons aiguilles, tout apprêtée. -Vraiment, tu es sûr ? dis Alice -Oui je crois, que je me cache la vérité depuis de nombreuses semaines. Et je dois te le dire je pense à ça sans arrêt. Lundi matin, mon coeur battait très fort. C'était le grand jour. Je décidais de m'habiller comme nous l'avions imaginé avec Alice. Une fois prête j'appelais Alice pour qu'elle vienne m'aider à me maquiller. À 08h45, j'ai été prête. Pour la première fois de ma vie, je descendais un escalier sur des talons aiguilles et en petite jupe. Malgré mon insistance Alice m'avait déconseillé de mettre des bas et encore moins des bas avec porte-jarretelles. Tu vas suffisamment avoir à faire avec ton nouveau statut de jeune femme. N'en rajoute pas avec la gestion de tes bas avec ta jupe qui est très courte, crois-moi ! J'avais bien évidemment écouté Alice. Comme d'habitude j'arrivais 1/4 d'heure avant Monsieur et m'installais à mon bureau. 9 h !! Monsieur poussa la porte du bureau. La première chose qu'il vit c'est une jeune fille apprêtée tout habillée de rose avec un grand sourire. Comme j'étais assise il ne pouvait pas savoir si j'avais passé totalement le cap de la féminisation. Mais les indices étaient très forts bien entendu. Je portais un petit soutien-gorge rembourré qui me faisait des petits seins sous mon pull. J'étais maquillée, je portais des boucles d'oreille, mes mains étaient manucurées avec du vernis à ongles rouge brillant. Alice m'avait posé des faux ongles le week-end pour que je m'habitue. Il ne fit aucun commentaire et se dirigea vers son bureau. Je n'en menais pas large. Pensant que j'avais fait une erreur peut être fatale. Ce furent je pense, les minutes les plus longues de ma vie. Et soudain mon téléphone sonna et Monsieur me demanda de venir dans son bureau. Sans réfléchir je me levais immédiatement. De toute façon le sort en a était jeté. Camille je pense que vous me devez des explications ? dit Monsieur J'étais devant lui dans la tenue que j'avais sélectionnée. Je me sentais féminine et très mignonne. J'avais choisi pour ce premier jour, une petite jupe plissée assez courte rose et qui avait pour originalité d'être en cuir. Je portais des talons de 12 cm couleur Nude et des collant très fin en nylon couleur capuccino. Je sus après que pour le quotidien, il ne fallait pas dépasser 10 cm. Au-delà c'est plus compliqué. Mais il était trop tard pour changer d'escarpins. Et pour le haut j'avais mis un petit caraco en soie couleur Ivoire un soutien-gorge assorti avec 2 petites prothèses pour mes seins. Alice m'avait bien expliqué le principe de l'habillement quand on s'habille un peu sexy. Elle m'avait dit : - Soit tu t'habilles sexy en bas et à ce moment-là tu dois être sage pour ta tenue du haut - Soit c'est le contraire tu es sexy en haut par exemple avec un chemisier transparent ou un décolleté très ouvert et dans ce cas tu essayes d'être plus sage dans ta tenue du bas - Sinon, tu es habillée comme une pute : avait-elle éclaté de rire, comme souvent J'avais bien évidemment écouté avec soin ses conseils et les avaient appliqués à la lettre. Je portais donc un petit gilet très court qui m'arrivait juste au niveau des hanches. Il était parfaitement accordé aux couleurs de ma jupe plissée, donc un rose très pâle, mais en laine. Cela faisait presque petite fille sage. Mais la jupe plissée elle, restait ambigüe et j'avoue terriblement sexy. Monsieur m'observait avec attention. Il se décida le premier à parler -Tournez-vous Camille, encore, continuez. Marchez dans la pièce ! Je m'évertuais bien évidemment d'être la plus féminine possible et je pense que le résultat était plutôt bien J'avoue Camille que je suis agréablement surpris par votre métamorphose. Même si au fond de moi je savais que vous aviez en réalité certainement des prédispositions à changer votre genre. Il reprit -J'imagine qu'il y a derrière tout ça Alice ? -Oui monsieur pour être tout à fait franche avec vous, dis-je, pour la première fois en parlant de moi au féminin ; je lui en ai parlé. Mais la décision et la proposition, tout cela vient de moi. Car depuis que je suis arrivé ici, je vois bien que j'ai beaucoup évolué. - Les tenues qui m'ont été proposés pour mon travail m'ont fait avancer dans ce que vous appelez effectivement ma métamorphose. J'ai l'impression de retrouver quelque part mon enfance, mais avec une vision d'adulte, celle d'une jeune femme. Cela va peut-être vous paraître surprenant, je n'y avais jamais pensé avant, mais désormais je me sens très heureuse comme cela, en femme. Et quoi que vous décidiez, j'avoue que je ne reviendrai pas en arrière. Vous savez Camille, quand vous voulez quelque chose, vous savez être extrêmement convaincante. Et je dois dire que je suis plutôt très convaincu de ce que je vois aujourd'hui et des propos que vous me tenez. Monsieur réfléchissait Camille nous sommes aujourd'hui lundi. Vous savez bien entendu que j'attends un client très important Sergueï Rostov. Vous parlez couramment russe. C'est un atout indéniable. Je ne peux pas vous cacher que vous êtes très jolie. Et qu'il sera séduit par votre plastique, j'en suis certain. Mais je ne peux pas prendre de risques et notamment celui que vous soyez découverte par Monsieur Rostov. S'il découvre que vous êtes un homme habillé en femme, cela serait une injure pour lui. Les hommes russes sont très susceptibles sur leur virilité. Et je perdrai à coup sur mon client. C'est inévitablement. Il poursuivit son propos - Cela étant, depuis que vous êtes ici j'ai pu observer votre capacité d'adaptation. Je vous propose donc la chose suivante : nous consacrons tous les deux la semaine à la présentation des diamants à Serguei Rostov. Nous répétons cela comme une pièce de théâtre, jusqu'à ce que je sois convaincu qu'il n'y a pas de risque. En revanche il faut que nous soyons d'accord sur un point. - Lequel monsieur ? dis-je. Il y avait toujours une condition dans les propos de Monsieur, je commençais à le savoir - Serguei Rostov est un homme à femme. Il peut parfois avoir des propos un peu déplacés et parfois avoir des mains un peu baladeuses. Il faudra savoir vous maîtriser. il n'ira pas plus loin normalement. Mais si vous réagissez de façon trop virulente, nos affaires iront mal. Donc réfléchissez bien à cela. Et demandez-vous si vous êtes bien capable de jouer cette pièce de théâtre. -Je vais réfléchir monsieur, mais je suis très tenté par cette expérience, je vous l'avoue -Si c'est ainsi, nous allons répéter la présentation. Et je devrais jouer inévitablement le rôle aussi de Serguei Rostov, afin de vous préparer. Donc il faudra que vous m'acceptiez dans ce rôle vous m'avez bien compris ? -Oui monsieur quand commençons-nous ? -Eh bien commençons maintenant Camille. Allez chercher un plateau et posez dessus quelques faux diamants que vous avez vus dans votre bureau et revenez me voir. Je quittais la pièce en gambadant sur mes talons aiguilles. Mon cerveau s'activait à mille à l'heure. Je réfléchissais à la façon de me tenir et comment les femmes se tiennent quand elle présentait quelque chose. Quelques minutes plus tard, j'arrivais avec mon plateau emportant les diamants de de démonstration donc de pacotille. Monsieur m'attendait dans la salle la petite salle de réunion, une table ronde avec 4 fauteuils. Il jouait me dit-il le rôle de Sergueï Rostov. Spontanément je savais qu'il fallait que je me mette à sa droite pour la présentation. Monsieur m'avait déjà appris le béaba de la culture du diamant et je commençais donc à expliquer au client virtuel la composition de notre offre diamantaire. Monsieur dans le rôle du client me posait des questions et soudain je sentis sa main se poser sur le haut de mes fesses. J'étais toujours penchée en avant, les jambes bien droites dans ma démonstration de diamant. Mes longs doigts vernis de rouge à ongles faisaient bouger sur le plateau en velours les petits diamants avec délicatesse. - Montrez-moi celui-ci me dit Monsieur. Et en disant cela je sentis sa main descendre au niveau de mes fesses et de commencer à les caresser doucement. -Et ce diamant ici vous pouvez m'en parler plus en détail s'il vous plaît ? Je jouais le jeu et continuait à me pencher vers le plateau. C'est alors, que j'ai senti la main de Monsieur derrière mes cuisses il me parlait et tout en me parlant il remontait sa main sous ma jupe jusqu'à mes fesses. Instinctivement, je ne le repoussais pas mais je serrais mes jambes afin que la main ne puisse pas aller vers mon sexe. Mon clito était bien emprisonné dans son petit string. Mais jusqu'à quel point. Je sentais que je commençais à mouiller à mon grand étonnement. Monsieur arrêta le jeu de rôle - Bien Camille, j'espère que je ne vous ai pas choqué. C'est un très bon début. Vous avez réussi à ne pas vous énerver face à mon geste déplacé, je vous l'avoue. Vous avez eu le bon réflexe de serrer les jambes pour que notre client n'aille pas plus loin. - Je vous remercie Monsieur, c'est étonnant mais j'ai fait tout cela très spontanément - Nous allons-nous entraîner tous les jours à ce scénario j'ai commencé par la partie la plus difficile pour vous. C'était volontaire. Nous allons répéter toutes les étapes pas-à-pas - Je suis si heureuse Monsieur, que vous ne me donniez ma chance - Une dernière chose Camille, le jour J, il faudra mettre une autre jupe. Peut-être une jupe patineuse, assez évasée pour permettre le passage des mains. Idéalement en matière satinée, ça va attirer l'oeil de Serguei Rostov j'en suis certain. - Bien monsieur dis-je, un peu servilement Je quittais le bureau et à la porte Monsieur prononça cette dernière phrase : Camille il faudrait que cette semaine vous entraîniez à porter des bas et un porte-jarretelles. De couleur noir si possible. Je vous libère pour votre après-midi.Demandez à Alice un budget et allez-vous acheter cette jupe et cette lingerie. C'est ainsi que toute la semaine nous avons fait ces répétitions avec Monsieur. Et que toute la semaine monsieur m'a glissé la main sous ma jupe en me caressant le haut de mes bas nylons noirs et de mon porte jarretelle. Il voulait que je sois habituée à la situation. Tout cela était incroyable pour moi et finalement très excitant. À chaque fois que je revenais de cette séance à mon bureau, je ne pouvais pas m'empêcher une fois assise d'écarter mon string et de masturber mon clito. Je disais maintenant un clito car j'étais devenue une femme, même si je bandais comme une folle.https://divineva.com/forum/nos-histoires-coquines-23/l-initiation-de-camille-chapitre-6-50300
