L’INITIATION DE CAMILLE- Chapitre 4

L'aveu d'Alice 20H sonnait quand Alice se présenta à la porte de l'appartement. J'allais ouvrir. Et devant moi, Alice était avec un plateau repas mais effectivement bel et bien habillée en tenue de soubrette. Je n'en revenais pas. J'aurai tout le loisir de l'observer en détail au cours de la soirée. La première chose que je vis fut la collerette que portait Alice dans ses cheveux. En fait de collerette un énorme noeud en satin blanc trônait sur le haut de son crâne. Alice souriait visiblement satisfaite de l'effet qu'elle produisait. Alors Camille, tu vois que je ne t'avais pas mentit, voici ma fameuse tenue de soubrette ! Qu'en penses-tu ? J'étais bien entendu, on s'en doute, totalement muet. Elle reprit la parole : Tu vois tout est dans le détail : les petits gants en dentelles blanches, la collerette, le tablier en satin avec son gros noeud à l'arrière. Elle se tourna pour lui montrer en riant. Et puis en dessous, le jupon blanc froufrou pour donner du volume à la robe. Pour tout te dire, je mets deux jupons pour augmenter le volume. Je suis sans voix, dis-je Je vois cela. Tu vas vite t'y habituer. Je pose le plateau repas sur ta table basse du salon. On va papoter un peu pendant que tu dînes. Et je vis Alice se diriger vers le salon juché sur ses talons aiguilles. Pour poser le plateau, comme toute femme, elle se pencha en avant les jambes bien tendues. Et moi derrière, inévitablement, je n'ai pu que voir la robe légèrement remonter. Suffisamment pour comprendre qu'elle portait des bas noirs à couture. Je vis une attache de porte-jarretelles. ! Elle se retourna Mais que fais-tu ? Ferme cette porte et rejoins-moi. Elle s'assit sur un petit fauteuil en face du canapé. Et très naturellement, elle commença une discussion. Je finis par être à l'aise. En quelques minutes, nous étions comme deux amis. A différence près que j'étais en train de discuter avec une superbe créature habillée en soubrette. Une question me trottait dans la tête : celle de ses fonctions au sein de cette maison Oui, oui, dis Alice, j'ai beaucoup de taches ici et de missions. Je suis la cuisinière de Monsieur, la gouvernante. D'ailleurs, je ne gouverne que moi ici. Dit-elle en rigolant. Je m'occupe du bon fonctionnement de la maison y compris le ménage et le service à table de Monsieur.et cela du matin jusqu'au soir. Le matin, je m'occupe de Monsieur, je le réveille, en douceur je précise, je prépare ses vêtements pour la journée. Je l'aide à s'habiller, puis je file préparer le petit déjeuner. Que je sers tu t'en doutes dans cette tenue. Mais par exemple mon recrutement, ce n'est pas un travail de maison mais plutôt d'assistante ? Oui, tu as raison mais nous sommes une petite entreprise en termes d'effectif donc Monsieur me confit des missions. Mais pourquoi m'as-tu sélectionné alors que tu savais que Monsieur cherchait une assistante ? Je ne sais pas, peut-être l'intuition. Et tu vois, je ne me suis pas trompé. Tu es là ce soir, n'est-ce pas ! Oui, je t'avoue que je suis très heureux mais encore surpris. Je ne peux me dire que tout cela est surprenant, peut-être même étrange par certains aspects. Ici c'est un monde à part. Mais tellement différent, tellement riche. Monsieur est très exigeant, parfois sévère, mais il m'a ouvert tant de nouveaux horizons. Et je crois pouvoir dire qu'il a fait la femme que je suis aujourd'hui. Tant que cela ? C'est vrai qu'il est magnétique. Moi-même je lui ai parlé de mon enfance sans aucune gêne. Et pourtant, avouer que l'on a été élevé en fille au point de se croire une fille, ce n'est pas exactement un propos que l'on doit tenir en entretien de recrutement. Je suis certaine qu'il a été touché par ta sincérité et ta spontanéité. Tu sais, c'est quelqu'un de très ouvert, qui ne juge pas comme le font la plupart des gens. Tu vois par exemple moi… Et Alice, s'interrompit. Je tentais de la relancer Non, non oublis, je suis trop bavarde Au contraire, tout ce qui me raconte me passionne. Bon d'accord changeons de sujet : comment as-tu été recrutée ici ? Et en posant cette question bien innocente, je ne savais pas que j'allais ouvrir la boite de Pandore d'Alice et découvrir une facette d'elle tellement surprenante. Alice, pris une grande inspiration. Bon, allons-y et advienne ce qui pourra. Dit-elle énigmatiquement Elle reprit en croisant délicatement ses jambes. J'étais au spectacle pour les yeux et pour la tête Il y avait avant ici une cuisinière. Un jour, elle a annoncé qu'elle était tombée amoureuse passionnément. En deux jours, elle avait fait ses bagages et elle était partie pour le sud de la France rejoindre son amour. Monsieur s'est retrouvé démuni bien entendu. Et c'est à ce moment que tu es arrivée ? En fait, dans l'urgence, il m'a embauché comme cuisinier pour 15 jours, le temps de trouver le profil qui correspondait, c'est-à-dire comme tu le sasii une femme. Au bout de 15 jours, il n'avait trouvé personne. Et de fil en aiguille, il a prolongé mon contrat ainsi 3 mois puis 4 mois, et pour finir 6 mois. Mais qu'est-ce qui n'allait pas avec ton profil ? Et pourquoi, dis-tu que tu as été embauchée en tant que cuisinier. Tu veux dire cuisinière ? Alice, repris à nouveau son souffle. Visiblement, je ne comprenais pas où elle voulait en venir Non, non, tu as bien entendu et je vois que tu tu as une bonne écoute. J'ai bien dit cuisinier Quoi ?? dis-je. Tu veux dire que …. ? Oui, je vais te raconter Mais où suis-je tombé, me dis-je intérieurement ? Alice repris son récit Au bout de 6 mois, Monsieur m'a informé un jeudi que mon contrat prenait fin le lendemain, un vendredi soir. Il était pour sa part conforme a tout ce qu'il m'avait dit. J'étais sous le choc. Je le comprenais sans vraiment l'accepter. Je ne dis rien et retournais dans mon appartement en pleurant. Je ne voulais pas quitter l'Hotel Saint Juste, et encore moins Monsieur. Le vendredi à 17H ma valise était prête et je suis descendu à l'étage bureau faire mes adieux à Monsieur. - Et que s'est -il passé ? dis-je suspendu à ses paroles - Je vais te rapporter notre échange et notre dialogue si tu veux bien. J'ai frappé à la porte du bureau de Monsieur - Monsieur : Oui entrez Alice : Je suis entré timidement. Monsieur m'a regardé sans comprendre à qui il avait à faire. Sans un mot, il m'a scruté, presque déshabillée. Monsieur est un admirateur de la gente féminine. -C'est moi Monsieur Il a dû reconnaitre ma voix. Il m'a appelé alors par mon vrai prénom de naissance. Que je ne citerai pas. Je suis Alice désormais. Monsieur se renversa en arrière, le temps je suppose de comprendre l'ampleur de la situation Alice : J'ai un aveux à vous faire Monsieur Monsieur : j'espère que c'est bien un aveu car s'il s'agit d'une plaisanterie, je ne suis pas certain de l'apprécier Alice : je n'ai pas mis cette tenue spécifiquement pour aujourd'hui, Monsieur. Ce sont les vêtements que je porte tous les jours chez moi après le travail. Monsieur : et depuis combien de temps ? Alice : depuis mon adolescence, Monsieur. Je voulais me présenter à vous telle que je suis vraiment Monsieur : Voilà une surprise, et comment vous faites-vous appelez Alice : Alice, Monsieur Monsieur : et j'imagine que dans cette tenue vous espérez que je vais changer d'avis et vous conserver Alice : Je mentirais si ce n'était pas le cas Monsieur. Mais cela va au-delà de tout cela. Par respect pour vous, je voulais que vous connaissiez la vérité me concernant. Je me sens si bien ici que je pense qu'Alice vous serait utile au quotidien. J'ai bien réfléchi depuis que vous m'avez annoncé mon départ et j'aurai plusieurs propositions à vous faire. Je veux bien vous écouter Alice, mais il va falloir être convaincante. Il s'adressait à moi au féminin, c'était un bon début pensais-je Alice, allez dans le bureau de l'assistance et ramenez-moi un bloc de papier neuf. Je vais prendre des notes Je suis certaine qu'il voulait observer cette nouvelle Alice et la façon dont elle se déplaçait. Je m'évertuais bien entendu à être la plus féminine possible, je roulais des hanches jusque ce qu'il fallait. En amateur de femme, Monsieur ne pouvait noter les détails de ma tenue. J'étais maquillée de façon sophistiquée, mes ongles de mains étaient longs et vernis d'un rouge brillant. J'avais sorti toutes mes bagues, mes bracelets, mon collier de perles. Mon corps était gainé d'une jolie petite robe bleue marine en apparence toute sage mais qui me moulait terriblement. Je jouais sur tous les registres de la séduction féminine. Et bien entendu je portais des escarpins à talons aiguille qui m'affinait encore davantage. Des Slingback Dior ouvertes sur l'arrière qui découvraient mes talons gainés de nylon couleur capuccino Je fis mon aller-retour sous les yeux attentifs de Monsieur. Je voyais de plus en plus le regard d'un homme sur une femme. Je prenais de l'assurance au fur et à mesure. La journée se termine. Allons discuter dans mon salon autour d'un verre. Vous allez m'exposer en détail toutes ces idées dans la tête de cette nouvelle Alice Il était charmant, gentleman. Je le précédais dans l'escalier. Je sentais son regard derrière moi. Il ne tentait pas de marcher à ma hauteur. Chaque instant était un test, je le voyais bien. Je vous félicite pour votre tenue Alice. Beaucoup de féminité sans aucune vulgarité. Et très bon choix pour vos escarpins Des Dior Monsieur ! Arrivée au salon dans l'appartement, il m'invita à m'assoir dans l'un des canapés. Je posais délicatement le bout de mes fesses sur le bord du canapé, les jambes bien serrées. Je savais que si je m'enfonçais dans les cousins profonds, inévitablement ma robe remonterait et laisserait entrevoir le haut de mes bas. Et je ne voulais surtout pas que Monsieur pense que j'étais en train de tenter de le séduire. Je vous écoute Alice, exposez-moi votre projet. Je savais qu'il n'avait pas besoin d'une cuisinière à plein temps. Il fallait que je me rende indispensable. J'exposais donc le poste de cuisinière et ma disponibilité pour les nombreuses réceptions que Monsieur organisait chez lui. Le poste de « chargée de missions « pour les tâches d'intendance en en dehors du champs d'action de l'Assistante de Direction. Et crois-moi, il y en a beaucoup. Et je portais le coup de grâce, qui je pense emporta sa décision, les fonctions de gouvernante de l'appartement de Monsieur. C'est Monsieur qui suggéra le terme : Une sorte de soubrette, c'est ça. Je n'ai jamais eu à mon service ce type de personnel C'est cela, Monsieur, le ménage, l'entretien de votre logis, le repassage, vous assistez dans votre quotidien. Vous préparez vos vêtements pour la journée … Je vois que vous avez pensé à tout Alice. Il faudrait que je réfléchisse à votre tenue de travail. Vous savez à quel point je suis exigeant sur ce point. Puis-je faire une suggestion à Monsieur Allez-y Alice Le mieux serait que vous la voyez. Puis-je m'absenter quelques minutes Je quittais tout excitée Monsieur et me précipitait dans mon appartement pour enfiler la tenue de soubrette que tu vois aujourd'hui. Je revins chez Monsieur. Conditionnant mon attitude dans cette nouvelle fonction. Monsieur me regarda avec une attention fort prononcée. Vous aviez donc tout préparé Alice J'allais me rassoir dans le canapé toute souriante. Monsieur m'interpella Ne vous asseyez pas Alice. Allez plutôt me chercher une bouteille de champagne Je n'en revenais pas. Mais il ne me disait rien. Ne me confirmait rien. Mais… Je revins avec du champagne frais et deux coupes. Quelle erreur. Mais une erreur qui me conduisait au bonheur. Que faites-vous Alice, avec ces deux coupes ? Je pensais que nous allions prendre le champagne Vraiment, vous pensez que j'ai l'habitude de prendre le champagne avec mon personnel et qui plus est avec ma nouvelle soubrette ? Oh Monsieur, dois comprendre que … ? Oui Alice, vous êtes embauchées à cet instant de façon définitive Merci, Merci Monsieur Quelques conditions cependant Je vous écoute Monsieur Je ne veux jamais vous voir désormais autrement qu'en femme. Mon précédent cuisiner à quitté ses fonctions il y a quelques instants, n'est- ce pas ? et je ne connais plus que Alice Bien entendu Monsieur, c'est mon souhait le plus cher Et pour votre voix, vous irez voir un ami à moi Médecin spécialiste qui se chargera de trouver une solution pour féminiser votre voix. Il poursuivi Et vous laisserez pousser vos cheveux pour faire disparaitre au plus vite cette perruque. Alice s'interrompit et regarda Camille Voilà tu sais tout, tu vas peut être désormais me détester et me mépriser Bien sur que non Alice. Ton histoire me touche beaucoup Des larmes s'étaient formées et commençaient à couler sur le visage d'Alice. Spontanément j'eus un geste de poser ma main sur son genoux pour la consoler. Je lui parlais en bougeant ma main sur le nylon de son genou. Je réalisais soudain. Une forte érection m'informa que je n'étais pas uniquement qu'en train de la consoler. J'avais une terrible envie de pousser plus haut main sous sa robe. Sentir le tissu de ses jupons et de ses bas.https://divineva.com/forum/nos-histoires-coquines-23/l-initiation-de-camille-chapitre-4-49874

photo 1
Dernière réponse le 04 février
31

Photo de StephanieSissy
57 • StephanieSissy
444 km • Travesti
a publié ce sujet le 04 février
Laura69696
46 • Laura69696
J'adore, vivement la suite 😄
Le 04 fev
photo profil