L’INITIATION DE CAMILLE -Chapitre 11

Chapitre 11 : Alice au pays des femelles soumises Je grimpais l'escalier qui menait à notre étage, excitée à l'idée de découvrir Alice. J'entrais dans son appartement en donnant un petit coup sur la porte pour la prévenir de mon arrivée. Elle m'entendit mais ne put me voir. Je découvris l'univers d'Alice. Je la savais bien entendu soumise. Mais là, je découvrais un monde inconnu mais qui était visiblement le sien, celui du BDSM. Alice avait notamment un bandeau sur les yeux qui la rendait aveugle. Pour le reste tout était dans le thème de la soirée. Elle portait une combinaison intégrale en latex noir ainsi qu'une cagoule dans la même matière. Seule ses lèvres dépassaient de celle-ci. Sa bouche était entravée d'un bâillon boule couleur rouge. Doucement je m'approchais et lui dit : C'est moi Alice, je suis chargée de venir te chercher et te conduire au salon de Monsieur où visiblement t'attendent avec impatience les invités. Elle essayait de me parler, mais les sons qui sortaient de sa bouche ressemblaient plus a des petits grognements difficilement intelligibles. Es-tu consentante Alice ? Lui demandais-je Elle hocha la tête en signe d'approbation. Ses bras étaient attachés derrière elle par des menottes. Depuis combien de temps était-elle ainsi ? la situation avait dû lui paraître interminable. Tout était torride. La combinaison était découpée de telle façon que ses deux seins soient libres ainsi que son clito et ses fesses. Je m'approchais d'elle par derrière. Elle était terriblement attirante. Elle semblait offerte, sans aucune défense. Je ne pus résister. Je me collais à son dos. Elle du sentir mon clito tendu se loger le long de sa raie des fesses. Ses seins que je voyais pour la première fois étaient parfait. Le chirurgien esthétique avait réalisé un travail remarquable. Ils étaient d'une bonne taille mais pas trop gros, mais surtout avaient une courbure parfaite. La pointe remontant légèrement vers le haut. Je glissais mes mains par derrière pour atteindre les deux seins. Je commençais à les caresser. Alice geignait de plaisir. En même temps, je me frottais de plus en plus le long de ses fesses. Mon gland était décalotté et frottait sur le satin de mon body. De ma main droite, je descendis doucement vers ses hanches. Sa taille était enserrée d'un corset en vinyle. J'avais envie de descendre vers son sexe. Mais j'hésitais. Je n'avais jamais touché un pénis autre que le mien bien entendu. Je mis mes doigts sur la base de son sexe. Alice frémissait de plaisir. Je m'enhardie en entourant son clito de mon pouce et de mon index. Lentement, je commençais un mouvement de va et vient. Alice avait de plus en plus de mal à maitriser son corps qui se tortillait. Ses mains bloquées à l'arrière par les menottes trouvèrent leur chemin et me saisirent à leur tour mon sexe à travers le satin noir de mon body. Nous étions au bord de la jouissance. Fort heureusement, je découvris sur le pénis d'Alice un objet qui me déconcerta suffisamment pour m'arrêter dans mon élan. En effet, en remontant le long de son sexe, je sentis le contact d'un anneau en métal. Je m'arrêtais et intriguée. Je contournais Alice pour me retrouver face à elle. Alice de son côté, aveuglée par son bandeau, ne pouvait que ressentir mes mouvements. Face à elle, je regardais avec attention. Un anneau était inséré dans son urètre et ressortais à la base du frein. J'appris plus tard que ces anneaux portaient le nom de Prince Albert. L'objet était de bonne taille, assez épais au final. Alice réussi à articuler malgré son bâillon boule deux mots que je compris. La laisse, dit-elle Je compris alors que je devais accrocher la laisse à l'anneau. Assez bizarrement, la laisse avait deux points d'accroche. Je finis par déduire qu'il fallait d'abord accrocher le premier point d'accroche sur l'anneau que portait Alice à la base de son sexe, au niveau du scrotum près des testicules. Puis le deuxième point d'accroche sur le Prince Albert. Le système était ingénieux et protégeait la soumise de tout geste brusque avec la laisse. On conduisait ainsi la soumise par le Prince Albert. Et si le geste du dominant était trop strict, la pression sur la laisse se reportait sur le deuxième anneau. Je mis en place la laisse selon ce principe et dis doucement à Alice : Tu es prête ? Elle opina de la tête. Oui, c'est certain, elle était prête car son clito était tendu, bien droit malgré le poids de la laisse en métal. Je décidais de me mettre à côté d'Alice pour la conduire en mettant mon bras gauche autour de ses hanches. De ma main droite, je tenais devant la laisse avec un peu de tension pour qu'Alice sente bien qu'elle était tenue en laisse comme une petite femelle soumise. Elle risquait de trébucher dans les escaliers avec ses mains entravées par les menottes et le bandeau qu'elle portait sur les épaules. Mes gestes étaient donc très attentionnés. Arrivées devant la porte de l'appartement de Monsieur, je regardais Alice et vérifiais que tout allait correctement pour sa présentation aux invités. La descente des escaliers avait obligé Alice a beaucoup de concentration et au final je remarquais que sont clito avait diminué. Je pris la décision de m'accroupir devant elle pour détacher la laisse du Prince Albert et faire quelques caresses pour lui redonner de la vigueur. Après très peu de va et vient, le clito d'Alice était de nouveau au garde à vous. J'avais le visage à hauteur de son sexe. Je ne pus résister à l'envie folle qui me prit. J'ouvris la bouche et englouti le clito d'Alice. La sensation était nouvelle pour moi et aussi très étrange avec la présence du Prince Albert. Alice couinait de plaisir. Je redoublais ma fellation. Quand soudain la porte d'entrée de l'appartement s'ouvrit. Monsieur me regardait du haut de sa stature avec une supériorité dédaigneuse !! Je comprends mieux pourquoi le temps m'a semblé si long ! dit Monsieur visiblement très agacé de la scène. Je me relevais, tentant d'avoir une contenance. Mais j'étais en faute et je le savais. Monsieur reprit et m'assena cette phrase terrible : Camille, vous êtes ici pour servir, et non pour VOUS servir !! Imaginez la situation si Alice avait joui ! Je suis impardonnable Monsieur, bredouillais-je. C'est la tentation, je n'ai pu y résister Totalement coupable Camille et vous mériteriez une punition. Mais vous n'êtes pas ma soumise mais mon assistante. Je vais donc vous demandez de quitter cette soirée et de rejoindre votre appartement. J'étais désespérée. Je ne voulais pas décevoir Monsieur. J'avais trop de respect pour lui. Sans réfléchir, je me jetais aux pieds de Monsieur en entourant ses jambes de mes bras. J'implorais son pardon Punissez moi Monsieur, je le mérite, mais ne m'excluez pas par pitié ! Monsieur pris un temps pour réfléchir. Alice attendait toujours debout, aveuglé par son bandeau. Et comme à son habitude, quand il réfléchissait il tripotait un clito. En l'occurrence celui d'Alice. Je voyais sa main s'activer, moi à ses pieds, lui dominant le moment tel un roi qui va prononcer sa sentence. Il remit la laisse d'Alice sur son Prince Albert. Et me regarda : Très bien, si c'est votre décision, je vais vous punir. Mais pas comme vous l'imaginez Camille. Je ne vais pas vous fouetter ou donner la cravache comme Alice. Je vais vous frustrer. Nous allons entrer dans l'appartement, vous me suivrez deux pas derrière moi et je vais décider de votre sort. Est-ce bien compris Camille ? Oui Monsieur, dis-je en baissant les yeux honteusement. Monsieur entra dans l'appartement en tête, tenant en laisse Alice attachée par son Prince Albert, menottée, bâillonnée et aveuglée par son bandeau. Moi derrière, deux pas en retrait marchant telle une pénitente. Les invités applaudirent cette entrée et firent des commentaires sur cette soumise que Monsieur leur apportait comme plat de résistance. Mais ils virent très vite que quelque chose avait changer dans mon attitude. Monsieur fit le tour de la pièce présentant sa soumise lentement à l'ensemble des convives. Je suivais toujours la tête baissée deux pas derrière. Monsieur rejoignit son fauteuil, devrais-je dire son trône. Il confia la laisse à la dominante. Sa Sissy était non loin d'elle en attente de ses ordres. Monsieur s'adressa a la dominante. Ma chère, auriez-vous l'obligeance de demander à votre Sissy qui vous sert parfois de mari de bien vouloir lui ordonner de retirer le bandeau, le bâillon boule et les menottes d'Alice. La femme dominante claqua des doigts et la Sissy se mis en oeuvre d'exécuter l'ordre qui venait de lui être donné. Monsieur regardait la scène. Alice cligna des yeux et bougea sa mâchoire. Elle retrouvait avec surprise un peu de liberté. Monsieur reprit la parole en s'adressant à l'homme en smoking. Cher ami, puis-je disposer de votre soumise le temps que je réfléchisse et je vous explique la situation L'homme au smoking regarda sa soumise qui était à ses pieds. Et d'un regard elle s'exécuta en marchant à quatre pattes vers Monsieur. Son sexe était déjà sorti, dressé prêt à être englouti par la soumise. La scène était torride. De dos on voyait les fesses dressées de la femme encadrées des jarretelles noires tendues et le gros plug en forme de diamant qui bougeait au rythme de la fellation qu'elle réalisait. La dominante pris l'initiative de mettre Alice en position de soumise. Elle retira la laisse du Prince Albert et attacha celle-ci au collier que portait Alice à son cou. Comme une chienne, la dominante s'adressa à Alice : Aux pieds, femelle, dit-elle avec autorité Alice se mis à quatre pattes. Visage à terre, ordonna-t-elle à nouveau Alice s'exécuta et mis sa joue droite sur le sol. La dominante tout en gardant la laisse en main l'a laissa prendre au sol. De telle façon qu'elle puisse la glisser entre son talon aiguille et la plante de la semelle de son escarpin. Ainsi, il ne lui resta plus qu'à tirer à nouveau sur la laisse. Alice fut alors bloquée contre l'escarpin de la femme. Lèche chienne, et ne t'arrête que si je te le dis. Monsieur repris la parole tout en continuant à être servilement sucé Mes amis, il vient de se passer un évènement qui ne peut rester impuni. Il expliqua en quelques mots la faute que je venais de commettre. Il reprit Le problème est que Camille n'est pas ma soumise, mais bien mon assistante. En conséquence, je ne peux la punir comme nous le ferions tous avec nos femelles. Mais Camille a insisté et plutôt que d'être privée de cette soirée, elle me réclame d'être punie. Est-ce bien exact Camille ? Oui Monsieur, j'ai bien demandé à Monsieur de bien vouloir me punir en contrepartie de rester présente à cette soirée. Dis-je J'écoutais cela servilement les yeux baissés face à Monsieur. Derrière moi j'entendais haleter Alice. Ce que je ne comprenais pas vraiment d'ailleurs, puisqu'elle était en train de lécher les escarpins de la dominante. Je ne pouvais tourner la tête pour voir ce qui se passait réellement Je vais être magnanime pour cette première faute, dit Monsieur. Je vous propose de priver pendant le reste de cette soirée, mon assistante d'un certain nombre de ses sens. La frustration devrait être suffisante pour qu'elle se souvienne que l'on ne doit pas utiliser une soumise sans l'autorisation de son Maitre. Monsieur adressa un regard de connivence à l'homme en smoking. Je le sentis s'approcher derrière moi. Il me tira les bras en arrière. Je sentis alors le métal froid des menottes d'Alice se poser autour de mes poignets. Je réalisais soudain que son sexe était hors de son pantalon. Il le posa dans les paumes de mes mains et commença un mouvement simulant une pénétration. Je sentais son énorme membre dans mes doigts. Je compris qu'il fallait que je serre mes doigts autour de ce sexe si je ne voulais pas commettre une nouvelle faute. Sans s'arrêter, il prit le bâillon boule et me l'introduisit dans la bouche. Son sexe commençait à dégouliner dans mes mains. Monsieur voyait-il cela ou était-il accaparé par le bâillon que l'on me posait. Puis ce fut la fin inattendue de mes sens. L'homme me posa le bandeau sur les yeux. A ce moment précis, je réussis néanmoins à me tourner et voir la dernière chose qu'il me fut autoriser de voir de cette soirée. Alice derrière moi, toujours en laisse en train de lécher les escarpins de la femme dominante était en train de se faire sodomiser par la Sissy. La femelle en rose portait un harnais avec un gros God noir, très réaliste et d'une taille impressionnante. La Sissy pénétrait Alice en lui tenant les hanches. La soumise en satin rose mimait les mouvements d'un mâle en train de pénétrer une femelle. En cage de chasteté, elle ne pouvait rien ressentir. C'était une humiliation de plus pour cette Sissy PDG en satin rose. Ce fut ensuite le grand noir pour moi. L'homme me conduisit au fond du salon. Je fus alors attachée aux bras et aux pieds. Alice me rapporta le lendemain que l'homme m'attacha debout sur une grande croix en forme de X. Une fois fait, l'homme sorti mon clito de mon body. Il s'adressa à Monsieur en rigolant : Vous avez là une bonne candidate, cher ami, regardez, elle bande déjà ! Et c'était vrai. Je n'eus ensuite que les bruits de la soirée pour seul indice de ce qui se passait. Les haletements des soumises, les coups de cravache. Je bandais sans pouvoir me toucher ni me satisfaire. Monsieur connaissait les ressorts de la psychologie. Je subis ainsi pendant encore deux heures une réelle frustration mais une délicieuse frustration pour cette première soumission. Alice vint me délivrer en fin de soirée et cette fois-ci c'est elle qui vint me soutenir pour monter les escaliers.https://divineva.com/forum/nos-histoires-coquines-23/l-initiation-de-camille-chapitre-11-50966

Dernière réponse le 12 mars
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Photo de StephanieSissy
57 • StephanieSissy
444 km • Travesti
a publié ce sujet le 04 mars
Lorena0069
60 • Lorena0069
Encore superbe!!!
Hier
fanytv
46 • fanytv
Comme toujours un récit terriblement excitant vivement la suite. Surtout ne quittez paS le site avant d'avoir fini cette superbe histoire
Aujourd'hui