L’initiation de Camille - « Assistant » de Direction - chap 1

Chapitre 1 – Une salle d'attente bien féminine Bientôt une heure que j'étais là, à attendre dans cette salle d'attente. Je me demandai encore pourquoi j'avais été retenu pour cet entretien d'embauche. Etudiant en seconde année de Sciences Po peut-être, mais pourquoi me recevoir alors que je n'avais même pas fini mes études. Je me questionnais sur mon avenir, et surtout j'étais au bout de mes maigres ressources. De jolis mots pour dire que j'étais totalement dans la dèche. Je ne savais même pas où j'allais pouvoir dormir la semaine prochaine. Alors j'avais épluché les annonces en espérant trouvé mieux que des postes dans la restauration. J'étais dans cette pièce, le temps s'écoulait vraiment lentement. J'étais entouré d'autres candidats, ou devrais-je dire d'autres candidates. J'étais le seul homme dans cette pièce. Que des jeunes femmes, jeunes comme moi, très belles et très féminines. J'étais aux anges. Elles étaient toutes en jupes ou en robes, portant des escarpins à talons, maquillées, apprêtées. Je n'en perdais pas une goutte. Toutes les 20 mn la porte s'ouvrait et une nouvelle candidate était appelée. Tout était surprenant dans cette histoire, ma sélection, mais aussi l'endroit. La société s'appelait Luxury D&J. Impossible de trouver quoi que cela soit sur internet sur son activité. Seul indice Luxury et les locaux. Enfin, plutôt faudrait-il parler d'Hôtel particulier. J'avais gravi un splendide escalier en pierre avec un tapis central et des barres en laiton dorées sur chacune des marches. Partout l'oeil était attiré par la présence de sculptures contemporaines. Comme avais-je pu avoir cet entretien, dans un tel lieu ? Le nom de la société m'avait attiré certes mais je n'y croyais pas vraiment. Et pourtant, il fallait que j'y crois en voyant tout ce luxe. Je relisais l'annonce pour passer le temps : Poste d'assistante de Direction pour une clientèle confidentielle. Le titre était suivi d'un descriptif manifestement écrit avec des mots choisis mais restant vague sur le fonds de l'activité réelle. Je relisais une nouvelle fois l'annonce. Et soudain l'évidence m'apparut : « poste d'assistante », toutes annonces en général légalement devaient annoncer une expression masculine et féminine du libellé poste. Et dans cetet annonce, rien de tout cela. Et effectivement, il n'y avait dans cette pièce que des jeunes femmes et j'étais le seul homme ! Au bout de 3 heures d'attente, j'étais le seul et dernier candidat dans la salle. Seul problème cela faisait 45 mn que la dernière candidate avait été appelée. Si cela se prolongeait, c'est qu'elle intéressait et que mes chances se réduisaient. Je commençais à bouillir de cette attente si longue. Le temps passait, je m'énervais. Savait-il que j'étais encore là. Plus de bruit. Ma décision était prise, je décidais de partir. Au moment de me lever, la porte s'ouvrit et je fus enfin appeler.https://divineva.com/forum/nos-histoires-coquines-23/l-initiation-de-camille-assistant-de-direction-chap-1-49611

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Photo de StephanieSissy
57 • StephanieSissy
444 km • Travesti
a publié ce sujet le 29 janvier
Trav1212
45 • Trav1212
Je veux la suite
Le 29 jan
Ninacross37
48 • Ninacross37
Hâte d'avoir la suite
Le 29 jan
Dollatransforme
29 • Dollatransforme
Trop sympa ! Hâte de savoir ce que va devenir cette personne 🤩🤩
Le 29 jan
ObjetPerdu
37 • ObjetPerdu
La suite! La suite ! La suite!
Le 29 jan
Miyaou
45 • Miyaou
It gives the eau in ze bouche….😂
Le 29 jan
57 • StephanieSissy
J'adore This commentary • Le 29 jan
45 • Miyaou
You are « welconne »….., oupsss 😂😜 • Le 29 jan
Vall2249
48 • Vall2249
Belle histoire hâte d'avoir la suite
Le 29 jan
33 • VickyTV
La suite... La suite... La suite 😅 • Le 29 jan
Gwen57
39 • Gwen57
La suite, la suite, la suite
Le 29 jan
Laetitiatrav
54 • Laetitiatrav
Tu racontes très bien cette belle introduction. Suspens insoutenable 😆
Le 29 jan
Mellie77
55 • Mellie77
Vite vite la suite...😏
Le 29 jan
NatLausanne
56 • NatLausanne
La precedente était a poil, tu as du la baiser mais le patron te l a misé dans le cul en même temps ? 😍 ok je sors..
Le 29 jan
Laura8000
31 • Laura8000
La suite la suite la suite.... 😁😛
Le 29 jan
Martine-44
58 • Martine-44
Oui oui la suite je suis impatiente
Le 29 jan
LolaMini-Skirt
51 • LolaMini-Skirt
Ouiiii la suite s'annonce croustillante ❤
Le 29 jan
Alexiane51
48 • Alexiane51
Il va être engagé comme assistante mais chut
Le 30 jan
57 • StephanieSissy
Bravo d'avoir lu le titre 😎 • Le 30 jan
48 • Alexiane51
Eh je vous avais bien dit!! Mais j'ai quand même très envie de lire la suite ;-) • Le 31 jan
CharlineMats
63 • CharlineMats
Stéphanie va se révéler 😘 !
Le 30 jan
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapître 2 : L'étrange entretien d'embauche de « l'Assistante » de Direction Jusqu'à présent, la porte de communication s'était ouverte, la candidate avait été appelée et jamais nous n'avions vu celle qui nous appelait pour notre entretien. Cette fois-ci étant le dernier candidat, la porte s'ouvrit en grand et je pus enfin découvrir notre mystérieuse interlocutrice. Elle apparut dans l'encadrement de la porte et me dit simplement en souriant : - C'est à vous Camille, Monsieur va vous recevoir. Je fus surpris par le fait qu'elle m'appelle mon prénom. Mais au-delà, j'étais tout simplement subjugué par ce que je voyais. Une magnifique jeune femme, habillée d'une jupe crayon noir en cuir et un chemisier en satin couleur crème légèrement transparent qui laissait deviner sa lingerie. On aurait dit un bustier. Une guêpière ? Il fallait que je me sorte cette idée de la tête et me concentre sur mon entretien. Se concentrer c'était facile à dire, je la suivais totalement hypnotisé par son déhanchement provoqué par ses talons aiguilles vertigineux noir brillant à semelles rouge. Des Louboutin ? Et elle portait des collants noirs à couture. Des collants et pourquoi pas des bas noirs à couture ? J'essayais d'effacer tout cela de mon esprit. Non, concentre-toi Camille ! Je fus introduit dans un spacieux bureau à la décoration raffinée mêlant toujours le décor haussmannien avec le contemporain. Au milieu de la pièce un bureau et mon interlocuteur, très élégamment vêtu d'un costume croisé. Il ne leva pas les yeux et mon accompagnatrice m'indiqua le fauteuil pour m'asseoir. Elle recula de plusieurs pas, mais resta pourtant dans la pièce. Les bras et les mains croisées devant elle, les jambes tendues et rapprochées l'une de l'autre. Comme l'aurait fait une domestique à une autre époque. Je me retournais pour bien comprendre la situation. Elle me sourit gentiment, mais de ses longs doigts vernis de rouge à ongle, m'indiqua de me tourner vers mon interlocuteur. Monsieur, puisque c'est ainsi qu'elle l'avait appelé, n'avait visiblement pas encore levé les yeux, et lisait mon CV que je reconnu. Enfin, il posa le document et me regarda. Il ne put dissimuler sa surprise : Mais vous êtes un homme ! Oui, dis-je timidement face à cette évidence Comment avez-vous pu passer à travers les mailles du filet ? Je, … je ne comprends pas ? C'est très simple, je n'embauche que des femmes. Notre métier fait que j'ai besoin d'une Assistante de Direction tant pour sa plastique que pour ses compétences. Ne voyez dans ce que je dis, aucun machisme. Simplement nos clients sont internationaux et très sensibles au charme des femmes françaises. Tout cela est un tout, et la somme des détails font la réussite des affaires et d'une entreprise. Il reprit, Mais tout cela ne me dit pas pourquoi, vous êtes arrivé jusqu'à ce stade de la sélection Et du fond de la pièce, on entendit la voix de la femme : Le prénom peut être Monsieur ? Le prénom ? Camille, oui c'est cela. Il regarda intensément la femme : Vous étiez chargée de faire la sélection Alice, et vous savez que je ne veux que des femmes Oui Monsieur, pardonnez-moi pour cette erreur, mais le CV me paraissait très au-dessus des autres et … j'ai pensé que le, comment dire, … le look de Camille pourrait compenser… Cela suffit Alice, nous reverrons cela, car cette faute ne peut rester … ! Il suspendit sa phrase, comme prenant conscience de ma présence Je comprends Monsieur, je suis à votre disposition, finit par dire Alice dans un chuchotement. J'écoutais ce dialogue, qui me paraissait surréaliste. Avec cette impression que j'étais en trop. Sans aucune transition, Monsieur repris le cours de l'entretien. Il me présentât le poste et ses attentes et surtout je découvris l'activité de l'entreprise : la vente de diamants de luxe et de bijoux. Il épluchât en détail mon CV, mon parcours, les langues vivantes que je maitrisais. Pourquoi, je postulais alors que j'étais en plein cycle d'études. Manifestement mon profil retenait son attention au regard du nombre de questions qu'il me posait. Puis soudain, il revint sur mon prénom : Pourquoi Camille ? et soudain sans attendre ma réponse : Votre mère voulait une fille ? La question était directe mais il avait tapé dans le mille. J'étais déstabilisé, je rougis. Bien sûr, il le vit. Il enfonça le clou : Je vous écoute, racontez moi l'histoire de Camille qui aurait dû naitre fille, si je comprends bien votre émoi. Cet homme était magnétique. Je ne me sentais pas de résister. Pourtant j'avais du caractère, mais à cet instant je relâchais toutes mes défenses. Pourquoi, je ne sais pas ? Comme, je l'imagine avec un Psy avec lequel on finit par être en confiance. Mais là c'était vraiment rapide. Cet homme était quelqu'un de peu commun. He bien, Monsieur, je ne l'ai jamais dit à personne, mais j'ai été élevé avec 3 soeurs, et ma mère jusqu'à mes 6 ans m'a considérée comme sa 4ème fille Jusqu'à vos 6 ans ? Oui, jusque ce que je rentre à l'école au CP Et qu'est ce qui a changé à l'entrée à l'école Mon aspect, mes vêtements, ma coiffure, enfin tout ! Et comment étiez-vous habillé avant? Vous l'aurez compris, j'étais la 4ème fille, dans un univers féminin, sans la présence d'un père pour compenser. Je portais les cheveux longs, et j'étais habillé avec les robes de mes soeurs, je jouais à des jeux de filles avec mes soeurs. En fait, je ne savais même pas que j'étais un garçon. Tout cela était ma vie depuis ma naissance tout simplement. Humm, je vois, intéressant, même inhabituel votre parcours Je ne comprenais pas pourquoi je lui avais fait autant de confidences personnelles. J'essayais de me réaffirmer en tant qu'homme. Mais ça c'était avant, il y a bien longtemps. Aujourd'hui je suis un homme ! dis-je comme pour me défendre de cette confession. Je n'en doute pas, reprit-il ; toutefois force est de constater que vous avez conservé un look un peu, comment dirais …. Androgyne, comme le suggérait Alice tout à l'heure. Ce n'est pas un jugement de valeur, davantage un constat. Il reprit : Ecoutez, c'est contraire à toutes mes habitudes, mais votre profil me plait. Aucune des candidate qui se sont présentées ne correspondent à mes attentes. Je pense que vous avez une bonne intelligence de situation, une excellente éducation qui vous permettrait d'avoir un contact aussi élaboré que nous l'attendons avec nos clients. Et vous maitrisez plusieurs langues. Vous parlez couramment russe, c'est bien cela ! Je répondis en russe en souriant en disant Oui, ma mère est d'origine russe Pardon, me demanda t il ? Je traduisis ma phrase en français, mais je compris à cet instant qu'il ne maitrisait pas le russe. Je suis prêt à vous prendre non pas à l'essai mais pour une période déterminée, renouvelable en fonction de votre intégration. Pour être tout à fait honnête avec vous, je n'envisage pas de déroger à mes principes, à savoir ne travailler qu'avec une équipe de femme. A ces mots et à ce moment précis, on entendit une sorte de gloussement ou un petit rire étouffé provenant d'Alice. Un commentaire, peut-être Alice ? demanda Monsieur sur un ton légèrement courroucé Si je puis me permettre, il vous arrivé une fois de déroger face aux évidences, dirons-nous, face aux évidences de la métamorphose, dit malicieusement Alice Je mémorisais mécaniquement cet échange sans pouvoir lui donner un sens quelconque. Monsieur jeta un regard noir et chargé de sévérité à Alice. Cet homme avait un autorité naturelle, c'était certain. Qu'en pensez-vous ? reprit Monsieur en s'adressant à moi J'étais sans voix, je balbutiais : Oui, … oui cela m'intéresse 3 500€ net pour le premier mois. En revanche, si cela ne me convient pas, nous arrêtons notre collaboration immédiatement. Je suis exigeant mais juste. J'étais sans voix Nourris, logé, complétât-il Nourris, logé ? Oui je mets deux conditions à votre embauche non négociable. Vous serez logé au 3ème étage. L'étage que nous appelons communément l'étage des « bonnes » de cet Hôtel particulier, dont c'était la fonction il y a un siècle. Nous avons transformé l'espace en 4 appartements. Quand je dis étage des bonnes, je pense que nos appartements feraient rougir d'envies bon nombre de parisiens. Compte tenu de notre clientèle internationales et des décalages horaires, je vous veux disponible à tous moments. Rassurez-vous il ne s'agit de vous faire travailler 24H/24 simplement de vous rendre disponible pour les impératifs de notre activité. Notre credo c'est le luxe pour une clientèle exigeante. Donc nous leur devons un service exemplaire. Je ne réussis qu'à hocher la tête en signe d'assentiment Et vous ne me demandez pas quelle est la deuxième condition ? J'étais groggy par tout ce que j'entendais. Mon avenir s'ouvrait d'un coup, si soudainement. Mai pour combien de temps ? Si, si, bien entendu, qu'elle est-elle ? Ma deuxième condition est votre tenue de travail et votre apparence. Elles doivent être également exemplaires. Et dans le milieu du diamant, elles doivent être au niveau du luxe de nos produits. Vous ne voyiez pas d'inconvénient à changer un peu de look ? Un look un peu plus élaboré, un peu plus mode. Sans attendre ma réponse, il reprit Vous commencerez votre poste demain à 14H. D'ici là, Alice va vous installer dans votre appartement et vous préparer vos tenues de travail. Rassurez-vous, vous serez habillé avec des vêtements provenant des meilleures boutiques de la Capitale. A partir de demain, vous faites partie intégrante de notre entreprise et de son image de marque. Je peux compter sur vous Camille ? Heu oui, …Oui Monsieur Une dernière chose, vous portez vos cheveux attachés. Auriez-vous la gentillesse de les détacher afin que j'aie une idée de votre chevelure une fois défaite ? Je fis un geste simple de retirer l'élastique qui tenait mon épaisse chevelure. J'avais les cheveux jusqu'au épaules Vous avez une belle chevelure, mais nous sommes loin du niveau que j'attends de vous ! Il interpelle Alice : Alice, occupez-vous des achats pour Camille. Vous savez le style que j'attends pour les tenues de Camille. Et prenez rendez-vous avec notre coiffeur pour demain matin, ici à l'Hôtel Saint Juste. Camille a les cheveux mi-longs jusqu'au épaules, c'est un bon début, mais il va falloir mettre un peu d'ordre dans tout cela. Et profitez-en pour également faire venir la manucure. Il reprit : Camille, nous en avons fini. Si vous voulez bien rejoindre la salle d'attente. J'ai un dernier point à voir avec Alice. Au moment où Camille quittait le bureau de Monsieur, il entendit : Alice, les mains sur le bureau et en position Camille n'osa pas écouter à la porte même s'il en avait terriblement envie. Tout cela était si énigmatique depuis le début mais si différent, si attirant aussi. Arrivé à la salle d'attente, il entendit comme un claquement puis un cri étouffé. Puis un deuxième. Et le son s'étouffa au moment où il ferma la deuxième porte de liaison. Il fut éclairé de le faire car à peine deux minutes plus tard, Alice arrivait. Furtivement, elle passa sa main sur ses fesses gainées dans le cuir de sa jupe.
Le 30 jan
37 • ObjetPerdu
Hmm j'adore • Le 30 jan
Vall2249
48 • Vall2249
Superbe hâte de lire la suite
Le 30 jan
Sabrina9214
54 • Sabrina9214
Très bien écrit, j'aime beaucoup. Merci et merci d'avance 😊
Le 30 jan
Laura69696
46 • Laura69696
Très belle histoire, vivement la suite. J'aurais aimé être à la place de Camille 🤩
Le 30 jan
51 • LolaMini-Skirt
Moi j'aurais aimé être à la place d'Alice • Le 31 jan
Martine-44
58 • Martine-44
Merci pour la suite Bisous et très heureuse de lire la suite
Le 30 jan
Gwen57
39 • Gwen57
La pauvre Alice, elle a pris chère 😊😊🤭
Le 30 jan
Ninacross37
48 • Ninacross37
Jolie récit, envie de lire la suite
Le 31 jan
Stephy44
42 • Stephy44
Tres existant
Le 31 jan
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapître 3 : L'installation à l'étage des « bonnes » Nous allons passer par l'escalier de service. L'escalier principal est réservé à Monsieur et à ses clients ou invités. Monsieur vit au deuxième étage. Et nous au troisième étage. Me dit Alice Alice poursuivit tout en marchant avec grâce sur ses talons aiguilles interminables. J'étais aux anges et la suivait comme un petit chien, les yeux rivés sur ses fesses gainées dans cette jupe en cuir. Et si cela ne t'embête pas, je te propose que nous nous tutoyons. Nous sommes collègues après tout. Et voisins, puisque mon appartement est aussi au 3ème étage. Mais surtout, nous n'avons que quelques années d'écart si j'ai bien lu sur ton CV. Oui avec plaisir. Répondis-je déjà plein de désirs innavoués Je n'arrivais pas à réaliser tout ce qui m'arrivais. Alice montait lentement les escaliers. Ses hanches chaloupaient à chaque marche. La grâce et la féminité à chaque instant s'offraient à moi. Le nylon gainant ses jambes m'hypnotisait. Arrivée à l'étage des bonnes, Alice s'arrêta devant une porte, glissa une clef pour ouvrir le verrou. Et d'un grand sourire me tendit la clef. Voilà, tu es chez toi ! et en disant cela, elle ouvrit en grand la porte. Comme pour le reste, je fus stupéfait par le luxe de l'appartement. Tout dans le détail reflétait le bon goût. C'était très loin d'être une chambre de bonne. Le salon mesurait bien 30 m2 donnant sur une cuisine ouverte entièrement équipée. Voici la chambre avec sur la gauche ton dressing. Il est vide enfin presque, mais il va rapidement se remplir. Tu peux me faire confiance. Je regardais tout cela avec émerveillement. Le seul point que je notais, une fois la surprise passée, c'était le caractère très féminin de la décoration. - C'est superbe et inattendu pour moi, dis-je. C'est très beau, très spacieux mais comment dire ? très féminin n'est-ce pas ? - Oui c'est indiscutable, il s'agit d'un appartement pour un membre du personnel qui par définition, tu l'auras compris, est toujours un membre de la gente féminine, dit Alice en souriant. Elle poursuivit : Installe-toi tranquillement, moi je dois filer avenue Montaigne pour t'acheter tes tenues de travail pour demain. Quelle taille fais-tu et ta pointure ? Je lui répondis Découvre ton nouveau chez toi. Il reste quelques affaires dans la penderie et les tiroirs qui appartenaient à la précédente assistante. Rassure-toi il te restera largement de la place pour tes affaires. Et sur ces mots, elle disparut Je reviens vers 20h avec tes affaires et ton diner. On pourra papoter en dinant ensemble et faire plus ample connaissance, si tu le veux bien ? Bien entendu, j'avais une terrible envie de découvrir mon nouveau chez moi. Je passai mes nuits sur un vieux canapé que l'un de mes potes m'avait prêté pour quelques jours chez lui, à ça ! Ici, j'avais pour moi un véritable appartement meublé. J'ouvris tous les placards de la cuisine, j'explorais la salle de bain en marbre. Je retirais mes chaussures, pour sentir le moelleux du tapis de bain, la douceur des serviettes de douche aussi épaisses qu'elles sentaient bon. Ma chambre avec ce lit King size. Certes c'était très féminin avec cette multitude de cousins en soie. Tout était satiné dans cette chambre de princesse. Même le dessus de lit. Je m'asseyais du bout des fesses sur le bord de mon nouveau lit. Mécaniquement je passais mes mains sur le dessus de lit. Quelle sensation agréable. Tellement inhabituel pour moi ! Je voulais tout voir, j'ouvris le lit pour voir si une nouvelle surprise m'attendait. Un nouveau ravissement. Les draps !! Les draps étaient en soie rose pâle. Passé l'étonnement, je sentis mon sexe frémir. Inconsciemment, je découvrais que cette matière soyeuse provoquait en moi une excitation. J'eus soudain l'envie de m'y glisser et en toute honnêteté de m'y frotter de toute part. J'ouvrais en grand le lit. Et sans réfléchir, je me déshabillais entièrement. Je me lovais dans les draps, me recouvrait en m'agitant comme un asticot. Mon sexe était dressé. Je n'arrivais pas à me contenir. J'étais fou de cette matière. Il fallait que je m'arrête avant de jouir sur les draps. Et le temps passait. Je me levais, nu, le sexe dressé. Je marchais dans l'appartement en respirant profondément pour calmer mon désir. Machinalement, je dirigeais vers la seule pièce que je n'avais pas encore visitée : le dressing. J'ouvrai en grand les placards vides. Le dernier placard me réserva en revanche une surprise. Alice m'avait prévenu que quelques affaires avaient été laissées par l'ancienne assistante. Je découvrais sur les cintres une jupe droite bleu marine et un chemisier couleur ivoire. En au bas du placard une paire d'escarpins noir brillant au talon vertigineux. Mon sexe se tendit à nouveau. Je n'avais pas l'habitude de côtoyer de si près des parures féminines. Mes copines étaient étudiantes et très, … très loin de ces tenues. A droite du placard : trois tiroirs encore. Une dernière surprise ? Le premier vide. J'étais presque déçu. Mais le deuxième !! Je l'ouvrais. Je vis apparaitre un ensemble de lingerie couleur marron glacé, un soutien-gorge, un string assorti en dentelles et …. un porte-jarretelles. C'était la première fois que j'en voyais un, comme disent les enfants, en vrai. Je plongeai ma main dans le tiroir. Le porte jarretelles avaient des attaches très fines. C'était une pièce de lingerie si délicate. Sans réfléchir, je l'enroulais autour de mon sexe. Je commençais ainsi à me masturber. L'excitation était si soudaine. C'était fou. Je voulais jouir. Oui, Oui !!! Et soudain, des petits coups on frappait à la porte. Vite, il fallait que je me reprenne. Je rangeais le tout comme je pus. Je me rhabillais en quatrième vitesse tout de travers. Alice, car c'était bien elle, frappait à la porte à nouveau, j'entendais sa voix. Pieds nus, j'ouvris, les cheveux ébouriffés. Tu en a mis du temps ? Tu as un problème- demanda Alice Non, non …, bégayais-je, j'étais aux toilettes Alice, comme une tour de contrôle scanna la pièce, et en avançant découvrit la porte la chambre, que j'avais laissé ouverte. Le lit béant et les draps en soie rose froissés. Je vois que tu apprécies ton lit, dit-elle malicieusement. Tu as fait une petite sieste ? Oui, répondis-je un peu honteux. C'est la première fois que je dors dans des draps en soie Quand on y a goûté, impossible d'y renoncer. Le contact sur la peau de ces draps, j'adore ! Mais moi je dors avec une nuissette en satin, c'est encore mieux. Je t'assure ! Dit-elle en riant. Alice regarda ma braguette encore tendue de mon excitation Je suis certaine que tu vas aimer toi aussi Sauf que je ne dors pas en nuisette ! dis-je avec un rire qui se voulait naturel A propos, si je me souviens bien, il y a une petite nuisette sous le deuxième oreiller, la précédente assistante voulait que cela soit toujours sous l'oreiller de droite. Tu pourras la ranger dans les tiroirs si tu veux. Ou t'en faire ton doudou ! dit-elle en éclatant de rire à nouveau. Alice était joyeuse et spontanée. Sur ces mots, elle contourna le lit et plongea sa main sous l'oreiller en question et en sorti une mini nuisette en satin noir. Tiens la voici justement. C'est moi qui fait le ménage et le rangement. Je sais où sont les affaires, crois-moi.. Regarde comme c'est mignon. Et d'un geste, elle posa la nuisette sur mon torse. ça t'irait très bien ! dit-elle d'un nouvel éclat de rire Je détournais la conversation comme je le pu. Tu fais le ménage ici ? Je ne comprends pas ? Je t'expliquerai tout cela ce soir si tu veux. Mais c'est vrai, j'ai beaucoup de fonctions ici, une sorte de gouvernante en chef. Et à certains moments de la journée, j'enfile ma tenue de soubrette, notamment pour faire le ménage et au moment du service à table de Monsieur. Tu me fais marcher, dis-je incrédule, croyant que c'était une nouvelle plaisanterie dont visiblement Alice avait le goût. Tu n'y es pas Camille, Monsieur est très strict sur les tenues, à chaque fonction une tenue. Si tu ne me crois pas, tu verras ce soir au moment du diner si une soubrette vient ou non toquer à ta porte avec un plateau. Car ce soir, comme c'est ton premier jour, Monsieur m'a demandé de t'apporter ton diner. Et là tu verras si je plaisantais ! J'étais sans voix He bien, ça te laisse perplexe on dirait. A propos de tenues, je te dépose tes tenues sont que je viens de t'acheter. On regarde cela ensemble demain matin. Il faut que je file, préparer le diner. A toute à l'heure.
Le 03 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
Magnifique récit, hâte de lire la suite.
Le 03 fev
Martine-44
58 • Martine-44
On as envie de lire la suite tout de suite !!
Le 03 fev
LolaMini-Skirt
51 • LolaMini-Skirt
Le 03 fev
Alexiane51
48 • Alexiane51
ça devient torride vraiment. On veut la suite!
Le 04 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
L'aveu d'Alice -Chapitre 4 20H sonnait quand Alice se présenta à la porte de l'appartement. J'allais ouvrir. Et devant moi, Alice était avec un plateau repas mais effectivement bel et bien habillée en tenue de soubrette. Je n'en revenais pas. J'aurai tout le loisir de l'observer en détail au cours de la soirée. La première chose que je vis fut la collerette que portait Alice dans ses cheveux. En fait de collerette un énorme noeud en satin blanc trônait sur le haut de son crâne. Alice souriait visiblement satisfaite de l'effet qu'elle produisait. Alors Camille, tu vois que je ne t'avais pas mentit, voici ma fameuse tenue de soubrette ! Qu'en penses-tu ? J'étais bien entendu, on s'en doute, totalement muet. Elle reprit la parole : Tu vois tout est dans le détail : les petits gants en dentelles blanches, la collerette, le tablier en satin avec son gros noeud à l'arrière. Elle se tourna pour lui montrer en riant. Et puis en dessous, le jupon blanc froufrou pour donner du volume à la robe. Pour tout te dire, je mets deux jupons pour augmenter le volume. Je suis sans voix, dis-je Je vois cela. Tu vas vite t'y habituer. Je pose le plateau repas sur ta table basse du salon. On va papoter un peu pendant que tu dînes. Et je vis Alice se diriger vers le salon juché sur ses talons aiguilles. Pour poser le plateau, comme toute femme, elle se pencha en avant les jambes bien tendues. Et moi derrière, inévitablement, je n'ai pu que voir la robe légèrement remonter. Suffisamment pour comprendre qu'elle portait des bas noirs à couture. Je vis une attache de porte-jarretelles. ! Elle se retourna Mais que fais-tu ? Ferme cette porte et rejoins-moi. Elle s'assit sur un petit fauteuil en face du canapé. Et très naturellement, elle commença une discussion. Je finis par être à l'aise. En quelques minutes, nous étions comme deux amis. A différence près que j'étais en train de discuter avec une superbe créature habillée en soubrette. Une question me trottait dans la tête : celle de ses fonctions au sein de cette maison Oui, oui, dis Alice, j'ai beaucoup de taches ici et de missions. Je suis la cuisinière de Monsieur, la gouvernante. D'ailleurs, je ne gouverne que moi ici. Dit-elle en rigolant. Je m'occupe du bon fonctionnement de la maison y compris le ménage et le service à table de Monsieur.et cela du matin jusqu'au soir. Le matin, je m'occupe de Monsieur, je le réveille, en douceur je précise, je prépare ses vêtements pour la journée. Je l'aide à s'habiller, puis je file préparer le petit déjeuner. Que je sers tu t'en doutes dans cette tenue. Mais par exemple mon recrutement, ce n'est pas un travail de maison mais plutôt d'assistante ? Oui, tu as raison mais nous sommes une petite entreprise en termes d'effectif donc Monsieur me confit des missions. Mais pourquoi m'as-tu sélectionné alors que tu savais que Monsieur cherchait une assistante ? Je ne sais pas, peut-être l'intuition. Et tu vois, je ne me suis pas trompé. Tu es là ce soir, n'est-ce pas ! Oui, je t'avoue que je suis très heureux mais encore surpris. Je ne peux me dire que tout cela est surprenant, peut-être même étrange par certains aspects. Ici c'est un monde à part. Mais tellement différent, tellement riche. Monsieur est très exigeant, parfois sévère, mais il m'a ouvert tant de nouveaux horizons. Et je crois pouvoir dire qu'il a fait la femme que je suis aujourd'hui. Tant que cela ? C'est vrai qu'il est magnétique. Moi-même je lui ai parlé de mon enfance sans aucune gêne. Et pourtant, avouer que l'on a été élevé en fille au point de se croire une fille, ce n'est pas exactement un propos que l'on doit tenir en entretien de recrutement. Je suis certaine qu'il a été touché par ta sincérité et ta spontanéité. Tu sais, c'est quelqu'un de très ouvert, qui ne juge pas comme le font la plupart des gens. Tu vois par exemple moi… Et Alice, s'interrompit. Je tentais de la relancer Non, non oublis, je suis trop bavarde Au contraire, tout ce qui me raconte me passionne. Bon d'accord changeons de sujet : comment as-tu été recrutée ici ? Et en posant cette question bien innocente, je ne savais pas que j'allais ouvrir la boite de Pandore d'Alice et découvrir une facette d'elle tellement surprenante. Alice, pris une grande inspiration. Bon, allons-y et advienne ce qui pourra. Dit-elle énigmatiquement Elle reprit en croisant délicatement ses jambes. J'étais au spectacle pour les yeux et pour la tête Il y avait avant ici une cuisinière. Un jour, elle a annoncé qu'elle était tombée amoureuse passionnément. En deux jours, elle avait fait ses bagages et elle était partie pour le sud de la France rejoindre son amour. Monsieur s'est retrouvé démuni bien entendu. Et c'est à ce moment que tu es arrivée ? En fait, dans l'urgence, il m'a embauché comme cuisinier pour 15 jours, le temps de trouver le profil qui correspondait, c'est-à-dire comme tu le sasii une femme. Au bout de 15 jours, il n'avait trouvé personne. Et de fil en aiguille, il a prolongé mon contrat ainsi 3 mois puis 4 mois, et pour finir 6 mois. Mais qu'est-ce qui n'allait pas avec ton profil ? Et pourquoi, dis-tu que tu as été embauchée en tant que cuisinier. Tu veux dire cuisinière ? Alice, repris à nouveau son souffle. Visiblement, je ne comprenais pas où elle voulait en venir Non, non, tu as bien entendu et je vois que tu tu as une bonne écoute. J'ai bien dit cuisinier Quoi ?? dis-je. Tu veux dire que …. ? Oui, je vais te raconter Mais où suis-je tombé, me dis-je intérieurement ? Alice repris son récit Au bout de 6 mois, Monsieur m'a informé un jeudi que mon contrat prenait fin le lendemain, un vendredi soir. Il était pour sa part conforme a tout ce qu'il m'avait dit. J'étais sous le choc. Je le comprenais sans vraiment l'accepter. Je ne dis rien et retournais dans mon appartement en pleurant. Je ne voulais pas quitter l'Hotel Saint Juste, et encore moins Monsieur. Le vendredi à 17H ma valise était prête et je suis descendu à l'étage bureau faire mes adieux à Monsieur. - Et que s'est -il passé ? dis-je suspendu à ses paroles - Je vais te rapporter notre échange et notre dialogue si tu veux bien. J'ai frappé à la porte du bureau de Monsieur - Monsieur : Oui entrez Alice : Je suis entré timidement. Monsieur m'a regardé sans comprendre à qui il avait à faire. Sans un mot, il m'a scruté, presque déshabillée. Monsieur est un admirateur de la gente féminine. -C'est moi Monsieur Il a dû reconnaitre ma voix. Il m'a appelé alors par mon vrai prénom de naissance. Que je ne citerai pas. Je suis Alice désormais. Monsieur se renversa en arrière, le temps je suppose de comprendre l'ampleur de la situation Alice : J'ai un aveux à vous faire Monsieur Monsieur : j'espère que c'est bien un aveu car s'il s'agit d'une plaisanterie, je ne suis pas certain de l'apprécier Alice : je n'ai pas mis cette tenue spécifiquement pour aujourd'hui, Monsieur. Ce sont les vêtements que je porte tous les jours chez moi après le travail. Monsieur : et depuis combien de temps ? Alice : depuis mon adolescence, Monsieur. Je voulais me présenter à vous telle que je suis vraiment Monsieur : Voilà une surprise, et comment vous faites-vous appelez Alice : Alice, Monsieur Monsieur : et j'imagine que dans cette tenue vous espérez que je vais changer d'avis et vous conserver Alice : Je mentirais si ce n'était pas le cas Monsieur. Mais cela va au-delà de tout cela. Par respect pour vous, je voulais que vous connaissiez la vérité me concernant. Je me sens si bien ici que je pense qu'Alice vous serait utile au quotidien. J'ai bien réfléchi depuis que vous m'avez annoncé mon départ et j'aurai plusieurs propositions à vous faire. Je veux bien vous écouter Alice, mais il va falloir être convaincante. Il s'adressait à moi au féminin, c'était un bon début pensais-je Alice, allez dans le bureau de l'assistance et ramenez-moi un bloc de papier neuf. Je vais prendre des notes Je suis certaine qu'il voulait observer cette nouvelle Alice et la façon dont elle se déplaçait. Je m'évertuais bien entendu à être la plus féminine possible, je roulais des hanches jusque ce qu'il fallait. En amateur de femme, Monsieur ne pouvait noter les détails de ma tenue. J'étais maquillée de façon sophistiquée, mes ongles de mains étaient longs et vernis d'un rouge brillant. J'avais sorti toutes mes bagues, mes bracelets, mon collier de perles. Mon corps était gainé d'une jolie petite robe bleue marine en apparence toute sage mais qui me moulait terriblement. Je jouais sur tous les registres de la séduction féminine. Et bien entendu je portais des escarpins à talons aiguille qui m'affinait encore davantage. Des Slingback Dior ouvertes sur l'arrière qui découvraient mes talons gainés de nylon couleur capuccino Je fis mon aller-retour sous les yeux attentifs de Monsieur. Je voyais de plus en plus le regard d'un homme sur une femme. Je prenais de l'assurance au fur et à mesure. La journée se termine. Allons discuter dans mon salon autour d'un verre. Vous allez m'exposer en détail toutes ces idées dans la tête de cette nouvelle Alice Il était charmant, gentleman. Je le précédais dans l'escalier. Je sentais son regard derrière moi. Il ne tentait pas de marcher à ma hauteur. Chaque instant était un test, je le voyais bien. Je vous félicite pour votre tenue Alice. Beaucoup de féminité sans aucune vulgarité. Et très bon choix pour vos escarpins Des Dior Monsieur ! Arrivée au salon dans l'appartement, il m'invita à m'assoir dans l'un des canapés. Je posais délicatement le bout de mes fesses sur le bord du canapé, les jambes bien serrées. Je savais que si je m'enfonçais dans les cousins profonds, inévitablement ma robe remonterait et laisserait entrevoir le haut de mes bas. Et je ne voulais surtout pas que Monsieur pense que j'étais en train de tenter de le séduire. Je vous écoute Alice, exposez-moi votre projet. Je savais qu'il n'avait pas besoin d'une cuisinière à plein temps. Il fallait que je me rende indispensable. J'exposais donc le poste de cuisinière et ma disponibilité pour les nombreuses réceptions que Monsieur organisait chez lui. Le poste de « chargée de missions « pour les tâches d'intendance en en dehors du champs d'action de l'Assistante de Direction. Et crois-moi, il y en a beaucoup. Et je portais le coup de grâce, qui je pense emporta sa décision, les fonctions de gouvernante de l'appartement de Monsieur. C'est Monsieur qui suggéra le terme : Une sorte de soubrette, c'est ça. Je n'ai jamais eu à mon service ce type de personnel C'est cela, Monsieur, le ménage, l'entretien de votre logis, le repassage, vous assistez dans votre quotidien. Vous préparez vos vêtements pour la journée … Je vois que vous avez pensé à tout Alice. Il faudrait que je réfléchisse à votre tenue de travail. Vous savez à quel point je suis exigeant sur ce point. Puis-je faire une suggestion à Monsieur Allez-y Alice Le mieux serait que vous la voyez. Puis-je m'absenter quelques minutes Je quittais tout excitée Monsieur et me précipitait dans mon appartement pour enfiler la tenue de soubrette que tu vois aujourd'hui. Je revins chez Monsieur. Conditionnant mon attitude dans cette nouvelle fonction. Monsieur me regarda avec une attention fort prononcée. Vous aviez donc tout préparé Alice J'allais me rassoir dans le canapé toute souriante. Monsieur m'interpella Ne vous asseyez pas Alice. Allez plutôt me chercher une bouteille de champagne Je n'en revenais pas. Mais il ne me disait rien. Ne me confirmait rien. Mais… Je revins avec du champagne frais et deux coupes. Quelle erreur. Mais une erreur qui me conduisait au bonheur. Que faites-vous Alice, avec ces deux coupes ? Je pensais que nous allions prendre le champagne Vraiment, vous pensez que j'ai l'habitude de prendre le champagne avec mon personnel et qui plus est avec ma nouvelle soubrette ? Oh Monsieur, dois comprendre que … ? Oui Alice, vous êtes embauchées à cet instant de façon définitive Merci, Merci Monsieur Quelques conditions cependant Je vous écoute Monsieur Je ne veux jamais vous voir désormais autrement qu'en femme. Mon précédent cuisiner à quitté ses fonctions il y a quelques instants, n'est- ce pas ? et je ne connais plus que Alice Bien entendu Monsieur, c'est mon souhait le plus cher Et pour votre voix, vous irez voir un ami à moi Médecin spécialiste qui se chargera de trouver une solution pour féminiser votre voix. Il poursuivi Et vous laisserez pousser vos cheveux pour faire disparaitre au plus vite cette perruque. Alice s'interrompit et regarda Camille Voilà tu sais tout, tu vas peut être désormais me détester et me mépriser Bien sur que non Alice. Ton histoire me touche beaucoup Des larmes s'étaient formées et commençaient à couler sur le visage d'Alice. Spontanément j'eus un geste de poser ma main sur son genoux pour la consoler. Je lui parlais en bougeant ma main sur le nylon de son genou. Je réalisais soudain. Une forte érection m'informa que je n'étais pas uniquement qu'en train de la consoler. J'avais une terrible envie de pousser plus haut main sous sa robe. Sentir le tissu de ses jupons et de ses bas.
photo 1
Le 04 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
Magnifique, j'aurais aimé être à sa place. En espérant une suite
Le 04 fev
Vall2249
48 • Vall2249
Superbe histoire j'aurais aimé que sa m'arrive
Le 04 fev
Miyaou
45 • Miyaou
Tout vient « tapin » à qui sait être tendre….😜
Le 04 fev
Martine-44
58 • Martine-44
Très jolie histoire.ce n est quand même pas déjà fini!!!!!
Le 04 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Non rassure toi. Plusieurs chapitres suivent crecendo
Le 05 fev
45 • Miyaou
Vraiment dommage de faire des chapitres entiers avec un style et une aisance orthographique digne d'un auteur de qualité et d'écrire « crecendo » au lieu de « crescendo » 😂😂😂 Donne nous les références de l'ouvrage afin qu'on aille l'acheter ou le rechercher sur internet, ça ira plus vite….. • Le 05 fev
Miyaou
45 • Miyaou
Vraiment dommage de faire des chapitres entiers avec un style et une aisance orthographique digne d'un auteur de qualité et d'écrire « crecendo » au lieu de « crescendo » 😂😂😂 Donne nous les références de l'ouvrage afin qu'on aille l'acheter ou le rechercher sur internet, ça ira plus vite…..
Le 05 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Merci pour cette tolérance orthographique. Il n'y a aucun ouvrage puisque j'écris ces chapitres en ce moment
Le 05 fev
56 • patricia34
Très plaisant et excitant, mais histoire inventée 😉 • Le 07 fev
57 • StephanieSissy
Bien sur, c'est un roman • Le 08 fev
Alexiane51
48 • Alexiane51
Tell me more, tell me more, la la la la la la
Le 09 fev
45 • Miyaou
Ah ah ouh ouh ah ah ouh ouh ah ah ouh ouh lalala…..😉 • Le 09 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapitre 5 - Ma nouvelle garde de robe Le lendemain matin, comme convenu, Alice frappa a ma porte à 8H sonnante. Je n'avais aucune habitude de me lever si tôt. J'étais totalement endormi. Elle frappa de nouveau. -Merde, merde, me dis-je intérieurement J'avais dormi nu dans mes draps de soie. Inévitablement au réveil, comme tous les garçons, j'étais au garde à vous, le sexe bien dressé. Pas de pyjama. Comment faire ? Alice frappait de nouveau et manifestement elle s'impatientait. Tant pis, je pris la nuisette qui était à côté de moi, la mettait devant mon sexe et couru vers la porte d'entrée. Alice était sur le palier, chargée de sacs de shopping Ha, je vois que tu apprécies la petite nuisette rose, dis Alice malicieusement Non, non, mais je n'ai pas de pyjama et quand tu as frappé, j'étais nu Oui, oui, je vois quand même que tu l'apprécies cette nuisette ! Dit-elle tout en regardant mon sexe qui émergeait fièrement à travers le tissu. Je te comprends, je raffole moi aussi de toutes ces matières soyeuses. Elle poursuivit Allez, file sous ta douche, la coiffeuse et la manucure arrive à 9H. Il faut que tu sois prêt et que l'on fasse avant les essayages de ce que je t'ai acheté. Je sors de la douche après quelques minutes. Je n'ai aucun vêtement, donc j'enroule autour de mes hanches la serviette de bains. Je me présente ainsi à Alice. Elle me tend une sorte de grande culotte en Lycra noir. - Ca commence mal, je vais pas mettre ça ! dis-je - Fais-moi confiance, tes pantalons vont être très près du corps et je ne pense pas que Monsieur apprécierai de voir l'élastique d'un de tes vieux slips, dit-elle en riant - Ils ne sont pas vieux mes slips, dis-je en grommelant -Chut ! dit Alice en m'interrompant. Si tu discutes tout, on n'a pas fini. Allez, mets le, je me tourne. Me voilà ridicule dans cette culotte devant Alice Je t'ai acheté de quoi tenir la semaine. Après on verra. Tu as 5 chemises, plutôt des chemisiers, compte tenu du boutonnage à l'envers. Et deux pantalons taille haute. Et deux paires de chaussures et des sous-vêtements en quantité suffisante pour un usage quoitidien. Je regardais les chemisiers. Il y en avait de toute sorte. Mais franchement aucun n'était vraiment masculin. Certains étaient en soie, d'autre en satin avec des manches légèrement bouffantes. Tout était très mode, très élégant mais pas vraiment masculin Tu n'as rien trouvé de plus masculin ? dis-je Allons, allons, je pensais que nous étions d'accord. Et surtout que tu avais bien accepté les conditions de Monsieur. Cela va mettre en avant ton côté métrosexuel certes. Tous ces vêtements sont des vêtements de marque, crois-moi. Tu entres dans un nouvel univers, celui de la mode. Mais tu peux toujours renoncé. A toi de me dire, mais si c'est le cas c'est maintenant ! Alors, que décides-tu ? En guise de réponse, je me résolus à enfiler le premier chemisier, couleur ivoire, un peu satiné. De toute façon, je n'avais pas le choix, j'étais quasi à la rue. Intérieurement, je devais admettre que la sensation du tissu était agréable sur la peau. Voir même très agréable. Mon sexe, recommençait à gonfler. Cela n'échappa pas à l'oeil avisé d'Alice. Mon sexe était parfaitement dessiné par le fin tissu de ma culotte en Lycra. Tu grognes mais ton corps parle pour toi, dit-elle en pointant son index vernis de rouge à ongle brillant vers mon sexe. Allez, Le pantalon maintenant, dit Alice. Il s'agissait d'un pantalon noir. Très étroit en bas et légèrement fendu au niveau des cheville. Mais le haut, ce fut la surprise. Le pantalon se fermait sur le côté au niveau de la hanche. Pas de fermeture éclair devant. Mais comment vais-je faire pour aller aux toilettes. ? Mais tu vas faire assis. C'est beaucoup plus hygiénique de toute façon ! Je me résolus à enfiler ce pantalon. Il m'allait parfaitement. La fermeture sur le côté était perturbante. Et la petite ceinture pour finir, dis Alice, toujours aussi satisfaite de ses achats Clairement la ceinture était aussi une ceinture de femme. Discrète noir en cuir mais si fine, délicatement terminée par une boucle dorée. Pour les chaussures, je t'ai acheté des mocassins noirs avec une boucle dorée. Là, il faut admettre que c'était à peu près neutre. Sauf qu'avec ce pantalon assez court au niveau des chevilles, cela rendait la chaussure beaucoup plus féminine. J'essayais d'enfiler les chaussures. Ça passait mais un peu difficilement. Mais suis-je bête, je t'ai pris des chaussettes. Sèche toi un peu les pieds et met ça ! Alice me présenta, une paire de chaussettes en nylon, que les femmes appellent le plus souvent des mi-bas. Je ne vais quand même pas mettre ça ! dis-je Alors pour le coup, je trouve que tu exagères. Beaucoup d'homme d'affaires en porte et puis pour aujourd'hui j'ai choisi une couleur beige donc invisible. Et pour finir, Alice me fit enfiler un petit blazer lui aussi assez court, qui m'arrivait aux hanches. Alors dis-moi en me faisant pivoter devant le grand miroir Clairement c'était une métamorphose. Rien à voir avec Camille le jeune étudiant de la veille. Mais, je dois dire que le résultat était finalement assez réussi. Il fallait que je m'assume ainsi. C'était ça l'enjeu. Et ce n'était pas gagné ! La coiffeuse et la manucure arrivèrent à ce moment de mes constats un peu perturbés. En voyant entrer ces deux jolies jeunes femmes, je fus honteux de ma tenue. Mon ego en pris un coup. De leur côté elles avaient un oeil professionnel et ne firent aucun commentaires déplacés Bien, voilà notre assistant que nous devons relooké. Dit la coiffeuse. Alice qu'as-tu imaginé comme coupe ? Visiblement mon avis ne comptait pas. Elles discutaient ensemble sans se soucier de moi Une coupe au carré juste au-dessus des épaules, il a une belle chevelure ? dit la coiffeuse Oui, un carré c'est parfait, confirma Alice Peut-être une franche, ça revient à la mode, proposa la coiffeuse Non quand même pas, il faut que Camille reste masculin pour sa vie hors du bureau, affirma Alice Ou alors un carré et devant je laisse deux mèches un peu plus courtes. Cela donnera une bonne symétrie à l'ensemble, renchérit la coiffeuse. On me fit asseoir et sans mon avis ni mon aval, la coiffeuse commença sa coupe. Pendant ce temps, la manucure s'occupait de mes ongles Vous avez de la chance, vous avez de belles mains et des doigts fins. Beaucoup de femmes en seraient jalouses si elles vous voyaient, observa la manucure. Et des ongles déjà bien dessinés. Je vais un peu travailler cela, mais je n'ai pas beaucoup à faire. Est-ce que je mets des faux ongles Alice ? Comment ça des faux ongles me dis-je. Je commençais à remuer sur mon fauteuil. Alice intervint Non pas de faux ongles, juste un vernis transparents pour unifier le tout. Du vernis ? Mais où avais-je mis les pieds ? Impossible d'arrêter cette machine infernale ! Déjà la coiffeuse s'était emparée du sèche-cheveux, et je compris après qu'elle me faisait un … brushing ! Ce fut enfin terminé. Alice, dans une attitude un peu théâtrale, glissa vers moi le grand miroir. Ce que je vis dans le reflet, ce n'était pas moi. Je crus voir une de mes soeurs. J'étais stupéfait ! Ça te change, mais c'est très réussi. Ça te plait ? me demanda Alice J'étais sans voix Alice, Alice… je ne sais pas. Dis-je. Et en me reprenant : c'est trop, je ne vais pas y aller. Je vais renoncer, je crois Alice voyant la situation se dégrader mis dehors en un clin d'oeil les deux femmes. Elle s'approcha de moi : Vraiment renoncer à tout cela. Réfléchis bien Camille. C'est un changement, j'en ai conscience et c'est très rapide. Mais Monsieur est ainsi, il décide et on doit excecuter. Vite. C'est comme cela ici. Tout en me parlant, elle me caressait doucement le genou. Je voyais ses ongles cheminer sur mon pantalon. Cela m'électrisait totalement. Mon sexe se remis à grossir. Alice croisa ses jambes. Habillée d'une jupe droite, je voyais tout près le nylon de ses bas. Elle vit mon regard. Tu aimes mes jambes, j'ai déjà remarqué hier. Dit-elle Je restais muet Ou plutôt est-ce le nylon de mes bas, qui te fait tant d'effet ? dit-elle à nouveau en remontant légèrement sa jupe en réajustant sa position. Ses mains avaient malheureusement quitté mes genoux Camille, ce que je peux te promettre pour le moment, c'est que tous les jours tu auras le plaisir de contempler une femme qui adore la féminité. Moi en l'occurrence. Dit-elle avec un panache plein d'humour. Et si tu es sage, je te permettrai de toucher mes bas. Dit-elle en riant Et en disant cela, elle prit ma main dans la sienne et la posa sur son genou gainé de nylon, entrouvrit légèrement ses cuisses. Touche comme c'est soyeux Elle arrêta son geste. Mais je compris clairement que c'était une invitation future. Je pris mes fonctions dès le début de l'après-midi. Incapable, que j'étais de renoncer à tout cet univers si incroyable, si inédit pour moi. Je ne vis pas les jours s'écouler tellement il y avait à apprendre. Je finis par m'habituer à mes tenues. Et je prenais presque plaisir le matin, à choisir la tenue que je porterai la journée. J'assumais de descendre dans la rue quand Monsieur me demandait d'aller lui chercher un croissant à la boulangerie. Je voyais les regards des hommes mais surtout celui des femmes, qui se questionnaient sur ce jeune homme avec une coupe de cheveux de femme, des bottines à petit talons beige en croco et un chemisier en satin. Au bout de quelques semaines, je compris que plus je me féminisais, plus Camille homme disparaissait aux yeux du public. Plus les gens étaient indifférents. Enfin presque, car désormais c'était les hommes qui me regardaient. Sur les conseils d'Alice, la troisième semaine, j'achetais un léger fonds de teint et un peu de Ricil et Eyeliner. C'était très suggéré, mais cela fonctionnait à merveille. Je pensais donner toutes satisfactions à Monsieur par mon travail et aussi mon look. J'étais loin du compte…
Le 12 fev
LolaMini-Skirt
51 • LolaMini-Skirt
J'adore merci pour cette belle histoire qui nous fait toutes rêver
Le 12 fev
Vall2249
48 • Vall2249
Superbe j'espère que c'est pas fini merci
Le 13 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Non, ce n'est pas fini bien au contraire, plusieurs chapitres qui suivent sont déjà rédigés. J'ai mis un peu de temps à écrire ce chapitre qui est un chapitre intermédiaire. Les nouveaux chapitres arrivent ils seront plus chaud.
Le 13 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
Magnifique récit
Le 13 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapitre 6 - La préparation du rendez-vous avec Serguei ROSTOV Un soir de fin de semaine Alice vint en panique à mon appartement. Il faut que je dise quelque chose mais tu ne dis rien. Tu ne dis pas que cela vient de moi. Même si cela sera difficile à cacher. Mais quoi s'agit-il ? dis-je Monsieur m'a demandé de relancer le processus de recrutement pour une assistante Quoi, c'est pas vrai. Oh non ! Je t'assure ! Il vient de me convoquer dans son bureau. J'ai bien dit évidemment à quel point tu donnais satisfaction Mais qu'est-ce qui s'est passé finalement pour qu'on en arrive là ? Je sentais moi aussi la pression qui montait et même la panique En fait, je pense que c'est l'arrivée de son plus gros client qui le tracasse C'est qui ? Il s'appelle Sergueï Rostov, c'est un client russe. Il aime les femmes françaises et Monsieur sait que c'est un élément essentiel dans la négociation et la vente des diamants. Il ne vient qu'une fois par an et cela se passe bien. L'assistante et Monsieur ont un scénario assez bien huilé. Et à chaque fois cela débouche sur une grosse commande. Mais pourquoi Monsieur ne demande pas que tu interviennes. Tu pourrais parfaitement faire le job. Non il veut une assistante qui parle russe, c'est impératif. Donc il m'a demandé de trouver tout bêtement une interprète qui soit à la hauteur de la féminité que Monsieur attend. J'ai une semaine pour trouver la perle rare. Et moi dans tout ça ? Toi, j'avoue que je suis inquiète. Car monsieur en général ne fait pas dans le détail. Soit cela fonctionne et tu as tout, soit cela ne fonctionne pas et tu quittes le bateau Je commençais à sangloter. Je voyais bien qu'il n'y avait plus qu'une seule solution. Solution qui de toute façon était inévitable. Je me cachais la vérité depuis plusieurs semaines. J'en avais soudain conscience. Depuis que j'étais à l'hôtel Saint-Just, je voyais bien que chaque jour j'assumais de plus en plus mon côté féminin. Et que cela me plaisait -Il faut que je fasse comme toi, dis-je -Comme moi, comment ça ? dis Alice -Oui devenir une femme comme toi - Tu oublies une chose Camille, c'est que moi je vis comme une femme depuis très longtemps dans ma tête. Alors que ce n'est pas ton cas. - Oui tu as raison mais si on y pense, imagine comment j'ai pu vivre mon enfance où j'ai cru pendant des années être tout simplement une fille. Et qu'est ce qu'il reste vraiment de cette époque aujourd'hui dans ma tête ? -Qu'est-ce que tu proposes ? - Tu m'aides à me métamorphoser ce week-end et lundi matin, je vais au bureau en petite jupe maquillée, talons aiguilles, tout apprêtée. -Vraiment, tu es sûr ? dis Alice -Oui je crois, que je me cache la vérité depuis de nombreuses semaines. Et je dois te le dire je pense à ça sans arrêt. Lundi matin, mon coeur battait très fort. C'était le grand jour. Je décidais de m'habiller comme nous l'avions imaginé avec Alice. Une fois prête j'appelais Alice pour qu'elle vienne m'aider à me maquiller. À 08h45, j'ai été prête. Pour la première fois de ma vie, je descendais un escalier sur des talons aiguilles et en petite jupe. Malgré mon insistance Alice m'avait déconseillé de mettre des bas et encore moins des bas avec porte-jarretelles. Tu vas suffisamment avoir à faire avec ton nouveau statut de jeune femme. N'en rajoute pas avec la gestion de tes bas avec ta jupe qui est très courte, crois-moi ! J'avais bien évidemment écouté Alice. Comme d'habitude j'arrivais 1/4 d'heure avant Monsieur et m'installais à mon bureau. 9 h !! Monsieur poussa la porte du bureau. La première chose qu'il vit c'est une jeune fille apprêtée tout habillée de rose avec un grand sourire. Comme j'étais assise il ne pouvait pas savoir si j'avais passé totalement le cap de la féminisation. Mais les indices étaient très forts bien entendu. Je portais un petit soutien-gorge rembourré qui me faisait des petits seins sous mon pull. J'étais maquillée, je portais des boucles d'oreille, mes mains étaient manucurées avec du vernis à ongles rouge brillant. Alice m'avait posé des faux ongles le week-end pour que je m'habitue. Il ne fit aucun commentaire et se dirigea vers son bureau. Je n'en menais pas large. Pensant que j'avais fait une erreur peut être fatale. Ce furent je pense, les minutes les plus longues de ma vie. Et soudain mon téléphone sonna et Monsieur me demanda de venir dans son bureau. Sans réfléchir je me levais immédiatement. De toute façon le sort en a était jeté. Camille je pense que vous me devez des explications ? dit Monsieur J'étais devant lui dans la tenue que j'avais sélectionnée. Je me sentais féminine et très mignonne. J'avais choisi pour ce premier jour, une petite jupe plissée assez courte rose et qui avait pour originalité d'être en cuir. Je portais des talons de 12 cm couleur Nude et des collant très fin en nylon couleur capuccino. Je sus après que pour le quotidien, il ne fallait pas dépasser 10 cm. Au-delà c'est plus compliqué. Mais il était trop tard pour changer d'escarpins. Et pour le haut j'avais mis un petit caraco en soie couleur Ivoire un soutien-gorge assorti avec 2 petites prothèses pour mes seins. Alice m'avait bien expliqué le principe de l'habillement quand on s'habille un peu sexy. Elle m'avait dit : - Soit tu t'habilles sexy en bas et à ce moment-là tu dois être sage pour ta tenue du haut - Soit c'est le contraire tu es sexy en haut par exemple avec un chemisier transparent ou un décolleté très ouvert et dans ce cas tu essayes d'être plus sage dans ta tenue du bas - Sinon, tu es habillée comme une pute : avait-elle éclaté de rire, comme souvent J'avais bien évidemment écouté avec soin ses conseils et les avaient appliqués à la lettre. Je portais donc un petit gilet très court qui m'arrivait juste au niveau des hanches. Il était parfaitement accordé aux couleurs de ma jupe plissée, donc un rose très pâle, mais en laine. Cela faisait presque petite fille sage. Mais la jupe plissée elle, restait ambigüe et j'avoue terriblement sexy. Monsieur m'observait avec attention. Il se décida le premier à parler -Tournez-vous Camille, encore, continuez. Marchez dans la pièce ! Je m'évertuais bien évidemment d'être la plus féminine possible et je pense que le résultat était plutôt bien J'avoue Camille que je suis agréablement surpris par votre métamorphose. Même si au fond de moi je savais que vous aviez en réalité certainement des prédispositions à changer votre genre. Il reprit -J'imagine qu'il y a derrière tout ça Alice ? -Oui monsieur pour être tout à fait franche avec vous, dis-je, pour la première fois en parlant de moi au féminin ; je lui en ai parlé. Mais la décision et la proposition, tout cela vient de moi. Car depuis que je suis arrivé ici, je vois bien que j'ai beaucoup évolué. - Les tenues qui m'ont été proposés pour mon travail m'ont fait avancer dans ce que vous appelez effectivement ma métamorphose. J'ai l'impression de retrouver quelque part mon enfance, mais avec une vision d'adulte, celle d'une jeune femme. Cela va peut-être vous paraître surprenant, je n'y avais jamais pensé avant, mais désormais je me sens très heureuse comme cela, en femme. Et quoi que vous décidiez, j'avoue que je ne reviendrai pas en arrière. Vous savez Camille, quand vous voulez quelque chose, vous savez être extrêmement convaincante. Et je dois dire que je suis plutôt très convaincu de ce que je vois aujourd'hui et des propos que vous me tenez. Monsieur réfléchissait Camille nous sommes aujourd'hui lundi. Vous savez bien entendu que j'attends un client très important Sergueï Rostov. Vous parlez couramment russe. C'est un atout indéniable. Je ne peux pas vous cacher que vous êtes très jolie. Et qu'il sera séduit par votre plastique, j'en suis certain. Mais je ne peux pas prendre de risques et notamment celui que vous soyez découverte par Monsieur Rostov. S'il découvre que vous êtes un homme habillé en femme, cela serait une injure pour lui. Les hommes russes sont très susceptibles sur leur virilité. Et je perdrai à coup sur mon client. C'est inévitablement. Il poursuivit son propos - Cela étant, depuis que vous êtes ici j'ai pu observer votre capacité d'adaptation. Je vous propose donc la chose suivante : nous consacrons tous les deux la semaine à la présentation des diamants à Serguei Rostov. Nous répétons cela comme une pièce de théâtre, jusqu'à ce que je sois convaincu qu'il n'y a pas de risque. En revanche il faut que nous soyons d'accord sur un point. - Lequel monsieur ? dis-je. Il y avait toujours une condition dans les propos de Monsieur, je commençais à le savoir - Serguei Rostov est un homme à femme. Il peut parfois avoir des propos un peu déplacés et parfois avoir des mains un peu baladeuses. Il faudra savoir vous maîtriser. il n'ira pas plus loin normalement. Mais si vous réagissez de façon trop virulente, nos affaires iront mal. Donc réfléchissez bien à cela. Et demandez-vous si vous êtes bien capable de jouer cette pièce de théâtre. -Je vais réfléchir monsieur, mais je suis très tenté par cette expérience, je vous l'avoue -Si c'est ainsi, nous allons répéter la présentation. Et je devrais jouer inévitablement le rôle aussi de Serguei Rostov, afin de vous préparer. Donc il faudra que vous m'acceptiez dans ce rôle vous m'avez bien compris ? -Oui monsieur quand commençons-nous ? -Eh bien commençons maintenant Camille. Allez chercher un plateau et posez dessus quelques faux diamants que vous avez vus dans votre bureau et revenez me voir. Je quittais la pièce en gambadant sur mes talons aiguilles. Mon cerveau s'activait à mille à l'heure. Je réfléchissais à la façon de me tenir et comment les femmes se tiennent quand elle présentait quelque chose. Quelques minutes plus tard, j'arrivais avec mon plateau emportant les diamants de de démonstration donc de pacotille. Monsieur m'attendait dans la salle la petite salle de réunion, une table ronde avec 4 fauteuils. Il jouait me dit-il le rôle de Sergueï Rostov. Spontanément je savais qu'il fallait que je me mette à sa droite pour la présentation. Monsieur m'avait déjà appris le béaba de la culture du diamant et je commençais donc à expliquer au client virtuel la composition de notre offre diamantaire. Monsieur dans le rôle du client me posait des questions et soudain je sentis sa main se poser sur le haut de mes fesses. J'étais toujours penchée en avant, les jambes bien droites dans ma démonstration de diamant. Mes longs doigts vernis de rouge à ongles faisaient bouger sur le plateau en velours les petits diamants avec délicatesse. - Montrez-moi celui-ci me dit Monsieur. Et en disant cela je sentis sa main descendre au niveau de mes fesses et de commencer à les caresser doucement. -Et ce diamant ici vous pouvez m'en parler plus en détail s'il vous plaît ? Je jouais le jeu et continuait à me pencher vers le plateau. C'est alors, que j'ai senti la main de Monsieur derrière mes cuisses il me parlait et tout en me parlant il remontait sa main sous ma jupe jusqu'à mes fesses. Instinctivement, je ne le repoussais pas mais je serrais mes jambes afin que la main ne puisse pas aller vers mon sexe. Mon clito était bien emprisonné dans son petit string. Mais jusqu'à quel point. Je sentais que je commençais à mouiller à mon grand étonnement. Monsieur arrêta le jeu de rôle - Bien Camille, j'espère que je ne vous ai pas choqué. C'est un très bon début. Vous avez réussi à ne pas vous énerver face à mon geste déplacé, je vous l'avoue. Vous avez eu le bon réflexe de serrer les jambes pour que notre client n'aille pas plus loin. - Je vous remercie Monsieur, c'est étonnant mais j'ai fait tout cela très spontanément - Nous allons-nous entraîner tous les jours à ce scénario j'ai commencé par la partie la plus difficile pour vous. C'était volontaire. Nous allons répéter toutes les étapes pas-à-pas - Je suis si heureuse Monsieur, que vous ne me donniez ma chance - Une dernière chose Camille, le jour J, il faudra mettre une autre jupe. Peut-être une jupe patineuse, assez évasée pour permettre le passage des mains. Idéalement en matière satinée, ça va attirer l'oeil de Serguei Rostov j'en suis certain. - Bien monsieur dis-je, un peu servilement Je quittais le bureau et à la porte Monsieur prononça cette dernière phrase : Camille il faudrait que cette semaine vous entraîniez à porter des bas et un porte-jarretelles. De couleur noir si possible. Je vous libère pour votre après-midi.Demandez à Alice un budget et allez-vous acheter cette jupe et cette lingerie. C'est ainsi que toute la semaine nous avons fait ces répétitions avec Monsieur. Et que toute la semaine monsieur m'a glissé la main sous ma jupe en me caressant le haut de mes bas nylons noirs et de mon porte jarretelle. Il voulait que je sois habituée à la situation. Tout cela était incroyable pour moi et finalement très excitant. À chaque fois que je revenais de cette séance à mon bureau, je ne pouvais pas m'empêcher une fois assise d'écarter mon string et de masturber mon clito. Je disais maintenant un clito car j'étais devenue une femme, même si je bandais comme une folle.
Le 14 fev
Vall2249
48 • Vall2249
Huuuummmmm superbe très excitant
Le 14 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
J'adore ce récit. Très excitant
Le 16 fev
Laetitiatrav
54 • Laetitiatrav
Un scénario que j'ai vécu plusieurs fois en tant qu'Escort et que je vous raconterai quand Camille nous aura gratifié de sa belle histoire vécue jusqu'à la fin. Merci Camille
Le 16 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapître 7 - Le doigt de Serguei ROSTOV Le jour du rendez-vous arriva enfin. Je l'attendais avec un mélange d'impatience et de crainte. Ce Serguei Rostov m'effrayait. Encore plus que ce client, j'avais peur de la réaction de Monsieur si j'échouais dans ma mission d'assistante « consentante ». Le chauffeur de Rostov, m'appela pour m'indiquer qu'il était au pied de l'Hôtel Saint Just. Je descendis l'escalier pour aller l'accueillir. J'avais pris plusieurs jours pour trouver ma tenue. Mais j'étais certaine de l'effet qu'elle produirait sur un homme tel que j'imaginais Rostov. J'avais choisi une petite robe noire satinée très évasée. Un peu comme une robe de mariée mais qui m'arrivait à mi-cuisse. Autant le bas était évasé, autant le haut était très près du corps. Les manches étaient façonnées d'une dentelle noire délicate, qui se prolongeait sur le décolleté. Derrière la robe se fermait avec une petite série de bouton nacrés qui donnait à l'ensemble une certaine candeur à la robe. Je séparais par une fine ceinture en cuir rouge le haut du bas pour marquer ma taille. C'était la seule touche de couleur. J'avais poussé également cet esprit d'ingénuité dans le choix de mes escarpins. Bien entendu noirs vernis, à talons très haut de 12 centimètres, mais terminés par une boucle qui venait enserrer mes chevilles. Je portais en dessous un string très serré pour contenir mon clito, une guêpière noire dont la dentelle du soutien-gorge apparaissait à travers le haut ajouré de ma robe. Et bien entendu, je portais des bas nylons noirs comme me l'avait demandé Monsieur. J'avais en revanche choisi de mettre des bas noirs à couture pour rajouter une touche très sexy, contrastant avec le côté innocent de ma tenue de demoiselle d'honneur. J'ouvris la lourde porte d'entrée de l'Hôtel Saint Just et accueilli de quelques mots de russe Serguei Rostov qui descendait de sa limousine noire. Rostov était de petite taille, trapu. Un visage typiquement russe avec de pommettes saillantes et des petits yeux vifs rapprochés. Instinctivement je regardais ses mains. Je savais qu'elles seraient sous ma robe dans quelques minutes. Je vis des mains courtes avec de gros doigts. Il me dégoutait d'emblée. Mais, je voulais être à la hauteur des attentes de Monsieur. Rostov me fit un sourire carnassier. Celui d'un chasseur qui vient de trouver sa proie. Il me félicita de mon russe en me demandant où j'avais appris à parler ainsi. Je lui expliquais avec un large sourire que ma mère était russe et qu'elle avait épousée un Français. Vous avez le meilleur des deux origines Mademoiselle. La détermination des slave mélangée à l'élégance des femmes françaises. Je savais déjà à cet instant que j'avais ferré le poisson. Je précédais Rostov dans les grands escaliers de pierre de l'Hôtel Saint Just. Je sentais son regard sur moi qui me détaillait. Je senti un moment qu'il ralentissait et en me retournant je vis qu'il avait 3 marches de retard sur moi. Je compris alors sa stratégie. Ce vicieux essayait de voir sous ma robe. Certainement de voir si je portais ou non des bas nylons. Car pour un esprit rustique comme le sien, nylon noir à couture équivalait à bas couture noir. Et en l'espèce, il avait raison. Le jeu commençait donc. He bien, jouons Monsieur Rostov ! En haut de l'escalier, je fis tomber volontairement mon trousseau de clef qui m'avait permis d'ouvrir la porte d'entrée. Je me penchais pour les ramasser les clefs, les jambes bien tendues et délicatement rapprochées. La vue pour Serguei Rostov devait être phénoménale. Une belle paire de jambes, juchées sur des talons aiguilles. Les plis d'une robe satinée qui ondulent, en laissant découvrir le haut des bas à couture et peut-être même les attaches des jarretelles de ma guêpière. Je prolongeais le moment quelques secondes. Suffisamment pour qu'il voit bien, mais pas trop pour que l'ambigüité d'une innocence présumée, soit maintenue. Je passais la main, délicatement en me retournant sur les pants arrière de ma robe, en m'excusant en russe de ma maladresse. Je vous assure que certaines maladresses sont un plaisir pour celui qui en est le spectateur, me dis Rostov. Rostov était donc plus fin que je ne l'avais imaginé. Il s'exprimait avec beaucoup plus de finesse que son physique ne le laissait supposer. Monsieur accueilli chaleureusement Rostov en anglais. Il était convenu que je traduirai en russe quand Monsieur parlerai en français. Sauf bien entendu, si les propos de Monsieur s'adressaient à moi. Une fois les cafés servis, le jeu commença en se déroulant comme Monsieur me l'avait fait répété. La pièce était en place et les acteurs prêts à jouer leur rôle respectif. J'avais amené, avec un peu d'angoisse cette fois-ci les diamants, les vrais. Il y en avait pour des dizaines de milliers d'Euros sur ce plateau. Rostov commentait, posait des questions. Je manipulais les diamants avec mes longs doigts aux ongles vernis rouge. Jusqu'au moment où je sentis la paume de la main de Serguei Rostov se poser sur le haut de ma jupe au niveau de ma ceinture. Vous faites parfaitement votre travail, me dis Rostov en russe Merci pour ce compliment Monsieur Rostov Je vois que vous êtes très investie, et que vous prenez toutes les taches à réaliser avec coeur Oui, j'ai à coeur de satisfaire Monsieur et les clients de Monsieur A ces mots Rostov, compris que le chemin était ouvert. Sa main caressa doucement mes fesses à travers ma robe. Il arrivait en même temps à poursuivre la conversation avec Monsieur en anglais. La main de Rostov quitta un instant le contact satiné de ma robe. Pour réapparaitre quelques secondes plus tard, sur mes jambes. Il commença à caresser mes bas nylon. Instinctivement, je serrais les jambes. Ce poste est nouveau pour vous, n'est-ce pas ?. Est-ce que tous ces aspects de celui-ci vous conviennent Mademoiselle ? me dis Rostov, comme pour avoir mon aval sur la poursuite de l'exploration de mon intimité. Nous pouvons poursuivre la présentation telle qu'elle a commencée Monsieur Rostov, lui dis-je sans hésiter. Rostov avait avec cette phrase, un véritable visa pour poursuivre ses investigations. Soudain je sentis son pouce appuyer sur la raie de mes fesses, et immédiatement un doigt essayer de rentrer dans mon anus. Malgré ma surprise, je poussais sans hésitations mes fesses vers l'arrière en les tendant bien vers ce gros doigt. Je voulais en terminer, même si je dois l'avouer la situation ne me laissait pas indifférente. Est-ce que tout va bien, me dit interrogateur Monsieur, en français Je pense que la vente va pouvoir se conclure Monsieur, répondis-je, tout en sentant le doigt de Rostov continuer à s'agiter d'avant en arrière. - Ty krasivaya shlyushka ! Me dit Rostov en russe - chtoby u nego byla shlyukha, yemu nuzhen ublyudok, lui répondis-je du tac au tac Rostov fut interdit quelques secondes en écoutant ma réplique. Et soudain, il retira son gros doigt, me claqua les fesses en explosant de rire. La vente est conclue Douchka !! Va chercher la vodka pour fêter ça ! Le sang russe coule dans tes veines, ça se voit. Tu sais céder du terrain pour t'assurer de la victoire. Tes ancêtres ont dû contribuer à la défaite de Napoléon. Dit-il en riant de sa propre blague. Et en anglais, il dit à Monsieur : Vous avez une assistante étonnante, un cerveau juché sur des talons aiguilles. On ne peut pas lutter. C'est une stratège hors pair cher Monsieur. La suite du rendez-vous n'a pas beaucoup d'intérêt sauf le débriefing avec Monsieur, qui me demanda de lui traduire ce que j'avais dit pour provoquer cette hilarité chez Rostov. Je lui traduisis les deux phrases de notre échange en russe qui avait tout déclenché : Rostov : Tu es une belle salope ! Moi : Pour qu'il y ait une salope, il faut un salaud, avais-je répondu du tac au tac Monsieur était stupéfait. Vous avez osé parler ainsi à Rostov, me dit-il avec un mélange d'incrédulité. Une pointe d'admiration émergeait de ses propos, et encore plus facilement puisque désormais la vente était conclue. Ce à quoi je répliquais à Monsieur en quittant la pièce avec un certain panache : Il avait un de ses gros doigts de paysan russe planté dans mon anus. J'ai estimé que nous étions suffisamment intimes pour échanger ces propos et pousser ainsi la conclusion de cet entretien de vente. Ai-je eu tort Monsieur ? Monsieur était interdit. C'est la seule fois que je le vis ainsi. En me retournant, je vis un sourire de complicité sur ses lèvres. J'avais gagné la bataille et peut être bien la campagne de Russie….
Le 17 fev
Vall2249
48 • Vall2249
Superbe c'est un plaisir de lire vos chapitres
Le 17 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
J'adore ce récit.
Le 17 fev
Alexiane51
48 • Alexiane51
Un vrai bonheur. Merci Stéphanie :-)
Le 18 fev
Miyaou
45 • Miyaou
Un « sex-traterrestre » de mon entourage que j'ai rencontré sur la « baise 51 » m'a confié qu'il avait ici même lu le début d'un récit qui le tenait en « alien »….. Je peux témoigner qu'après lecture de ce « suce-mentionné » début de récit, il n'a « au cul ne ment » « sexagéré »…..😜
Le 18 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapître 8- Monsieur et Alice : la confession à genoux Depuis l'épisode avec Serguei Rostov, j'étais devenue l'assistante de Direction de Monsieur à part entière. Il n'y avait plus aucune allusion d'une quelconque remise en question de mon poste. Je passais mes journées en femme. Toujours très sexy. Et Monsieur semblait très satisfait de son assistante. La seule évolution, était un petit changement dans le comportement de Monsieur. Désormais quand je venais dans son bureau et que je devais lui présenter un document à côté de lui, celui-ci avait pris l'habitude de m'écouter et de dialoguer avec moi en glissant sa main sous ma jupe. Comme si nos répétitions pour l'entretien avec Serguei Rostov se poursuivaient. C'était une sorte d'accord tacite. L'état de mes strings attestait que j'aimais ces moments. Monsieur n'allait jamais plus loin. De mon côté, je ne portais plus que des bas et des porte-jarretelles. Plus les jours passaient et plus ma garde-robe se garnissait. Et plus je me permettais des tenues sexy. Monsieur ne faisait jamais de commentaires. Ce jour-là, je testais une nouvelle tenue. Une mini-jupe noire en vinyle avec des cuissardes également noires brillantes à talons aiguilles. Un haut transparent noir qui laissait totalement voir mon soutien-gorge en dentelles. Seule touche sage, un petit blazer qui cachait un peu mon haut transparent. Pour porter une mini-jupe si courte, je portais exceptionnellement des collants en nylon noir très fins. Ce matin-là, par chance, Monsieur ne m'avait pas glissé sa main sous ma jupe. Une fois notre séance terminée, Monsieur me demanda de bien vouloir appeler Alice pour qu'elle se présente tout de suite au bureau. Vous lui direz que j'ai besoin de la voir pour évoquer la faute qu'elle a commise ce matin, elle comprendra. J'appelais Alice immédiatement au téléphone intérieur. Elle arriva deux minutes plus tard. Ce n'était pas la Alice que je connaissais. Elle était sombre, le visage fermé et penché vers le sol. Elle ne prononça pas un mot en passant devant moi. Frappa à la porte de Monsieur, et entra. J'entendais le bruit sourd d'une conversation animée à travers la porte de séparation entre mon bureau et celui de Monsieur. Je restais à ma place sans céder à la tentation d'aller écouter à la porte. La voix grave de Monsieur s'imposait et je n'entendais que des murmures de l'habituelle exubérante Alice. Cela dura de longues minutes, sans je puisse déduire quoique ce soit. Malgré ma tenue très sexy, je m'évertuais de me concentrer sur mon travail. J'étais toujours aussi surprise de ma féminité, devenue certain jours une féminité torride. Puis, j'entendis des claquements secs venir du bureau de Monsieur et des petits cris étouffés. Alice bien entendu, qui d'autre ? J'allais m'approcher de la porte, lorsque la sonnette du bas de l'Hôtel Saint Just sonna. Un coursier. J'ouvrais la clenche électrique et me réinstallait au bureau. Depuis quelques temps, je prenais un malin plaisir à provoquer mes visiteurs. Le coursier frappa et entra. La première chose qu'il vit, c'est une petite assistante bien maquillée avec de jolies boucles d'oreilles pendantes dorées. J'écartais légèrement ma petite veste noire afin de laisser apparaitre la transparence de mon haut noir. Je voyais le coursier avec son casque relevé commencer à me fixer et surtout mes seins. Je me levais en disant candidement : Il y a quelque chose à signer, je suppose ? Et là il me découvrait debout, dans ma micro-jupe en vinyle noire et surtout les cuissardes aux talons aiguilles interminables. Je regardais le coursier qui lui avait les yeux fixés sur mes jambes, c'était si drôle. Il ne se rendait même pas compte que je l'observais. Tout va bien ? dis-je. Puis-je avoir le papier ? Et là, je saisissais le bon et me dirigeais vers mon bureau. Je ne le contournais pas mais restait bien de dos dans le champ de vision du coursier. Je posais le bon sur le bureau, prenais mon temps pour choisir mon crayon. Et me penchais bien en avant, pour m'appliquer à signer. Souvent, malencontreusement le crayon ne fonctionnait pas et je devais me pencher encore plus sur mon bureau pour saisir comme par hasard un crayon le plus éloigné de moi. En général je me retournais et regardais la braguette du coursier afin de constater si mon petit jeu avait fonctionné. Soudain, la porte du bureau de Monsieur s'ouvrit. Il avait l'air agacé. J'avais les fesses bien tendues, tout comme mes jambes gainées de nylon noir. Monsieur regarda la scène en comprenant immédiatement ce qu'il était en train de se tramer entre moi et le coursier. Camille, quand vous aurez fini de jouer avec ce malheureux coursier, rejoignez-moi dans mon bureau, j'ai à vous parler. Et surtout Alice ! L'interpellation avait été sèche. Je ne trainais et mis dehors le coursier. Le pauvre était totalement déboussolé. Je frappais à la porte et entrais. Ce que je vis à cet instant, fut le moment où ma vie bascula, c'est certain. Je le sus après mais, c'est bien à cet instant que je devins la Camille d'aujourd'hui qui vous écrit. Alice était de dos, debout, les mains posées à plat sur le bureau de Monsieur. Le corps penché à 90 degrés, les jambes tendues et écartées. Sa jupe était relevée sur ses hanches. Son string tombé à ses pieds, restait encore accroché à l'une de ses chevilles. Ses magnifiques fesses étaient encadrées d'un jolie porte-jarretelles rose à 6 branches. La scène était saisissante bien entendu. Mais au-delà, c'était la vue d'ensemble qui me laissait sans voix. Monsieur tenait dans sa main une cravache. Et Alice, avait les fesses zébrées. De grandes marques rouge, si fortes que l'on voyait même la marque du triangle de cuir qui termine en général les cravaches. Alice avait les fesses imprimées de marques de coups cravache. Camille, je crois que Alice vous doit des explications, que pour ma part je pensais qu'elle vous avait déjà données. Il commanda à Alice de se relever et de baisser sa jupe. Alice s'exécuta et se retourna vers moi, honteuse. Ne vous laissez pas attendrir par l'attitude d'Alice. Au fonds d'elle, elle aime qu'on la regarde dans ce genre de situation. Elle aime être vue, n'est-ce pas Alice. Oui Monsieur, répondit Alice dans un murmure Et peut-on dire, que vous acceptez d'être punie ? Oui Monsieur, je dois être punie quand je désobéi ou que je fais une faute, poursuivit Alice Et peut-on également dire, que vous aimez être punie de la sorte ? Oui Monsieur, j'aime quand vous me mettez à la place que je dois occuper Et quelle est cette place Alice ? Nous vous écoutons ! Celle d'une soumise Monsieur Nous n'avons pas bien entendu Alice, qu'êtes-vous ? Une soumise, Monsieur, une soumise dont il faut user et abuser. Je suis un objet à votre disposition et souhaite être traité comme tel. Un objet ! voilà une définition intéressante. Gardez cela en mémoire Camille, un objet ! Et confirmez à Camille un point : êtes-vous consentante ? Vous ai-je forcé à quoique ce soit ou demandé de jouer ce rôle ? Non Monsieur, je suis totalement consentante Développez Alice pour que Camille comprenne bien Parce que c'est moi qui vous l'ai demandé ! dis Alice dans un aveu terrible Monsieur reprit et intima un ordre à Alice, auquel visiblement elle était habituée Aux pieds Alice Et immédiatement, Alice s'agenouilla aux pieds de Monsieur. Les mains dans le dos. Le corps bien droit. La bouche Alice Alice ouvrit la bouche bien grande. Monsieur glissa la cravache en travers de ses lèvres. Alice mordit la cravache pour bien la tenir servilement. Asseyons-nous Camille, dit Monsieur. Je vais vous raconter la fin de l'histoire que Camille ne vous a pas donnée lorsqu'elle vous a expliqué comment elle était rentrée à mon service. Nous nous trouvions dans une situation totalement surréaliste. J'étais assise en face de Monsieur dans un confortable fauteuil. Et Alice était entre nous, à genoux les mains dans le dos, une cravache entre les dents. C'est ainsi que Monsieur m'expliqua qu'Alice une fois présentée dans sa tenue de soubrette lui avait avoué sa réelle condition, celle de soumise et son désir profond de l'être auprès de Monsieur. Monsieur poursuivis en me racontant le détail de cette conversation qui avait fini pour Alice en la signature de son contrat d'embauche, avec une annexe entièrement dédiée au détail de sa soumission. Le tout avait été signé en 3 exemplaires, dont un exemplaire déposé chez un notaire. Exemplaire qu'Alice dû d'ailleurs amener elle-même chez le notaire, le lire à voix haute devant l'officier ministériel, qui l'écouta on l'imagine avec concupiscence avant de le classer. J'apprendrais plus tard comment le contrat entre Monsieur et Alice avait été signé en réalité. Monsieur demanda à Alice de se mettre à quatre pattes, le contrat devant ses yeux posé au sol. Pendant qu'elle relisait les termes de son engagement. Monsieur releva sa robe de soubrette. Alice entendit le pantalon de Monsieur tomber au sol. Monsieur la pénétra pendant toute la lecture. Une fois la lecture terminée, il lui demanda de relire à nouveau l'annexe du contrat dédié à la soumission d'Alice et à voix haute. Ainsi, il lui demanda ainsi 4 fois de relire de plus en plus fort. Jusqu'à ce que Monsieur jouisse. Alice apprit ensuite à bien nettoyer avec sa bouche le sexe de Monsieur après usage. Monsieur, reprit la parole Bien, Camille, vous savez tout désormais d'Alice. Je tenais à ce que les choses soient dites. Et que vous sachiez dans quel environnement vous évoluez ici. J'ai horreur de me cacher et je veux pouvoir disposer de ma soumise à tout instant, même pendant les heures de bureau. J'espère que cette situation ne vous incommode pas Camille ? Dites-le-moi, sincèrement Camille. Tout cela est très nouveau pour moi Monsieur. Mais je crois que je vais vite m'y habituer, dis-je A la bonne heure, je n'en attendais pas moins de vous Camille ! Bien, il temps de reprendre le travail. Allez chercher votre bloc note et rejoignez-moi dans 5 minutes. Alice doit finir sa tâche quotidienne Cinq minutes plus tard, je me présentais au bureau de Monsieur. Alice était sous le bureau de Monsieur en guêpière en train de sucer Monsieur. Très naturellement Monsieur me dit : Nous n'en n'avons pas terminé avec Alice, cela ne vous dérange pas si elle poursuit ? Ou sinon je vous demande de revenir dans quelques minutes ? ou je lui demande de revenir ? Je répondis par ces mots à Monsieur, qui apprécia le trait d'esprit : Vous savez Monsieur, s'il fallait retirer un objet quand j'entre dans une pièce, il faudrait alors tous les retirer. Monsieur souri et commença à me dicter son courrier. J'étais pour ma part trempée d'excitation de ce que je venais de vivre. Mon fauteuil était suffisamment reculé pour que Monsieur me voit en entier. Je décidais de croiser mes jambes gainées de noir. Les cuissardes firent un bruit de frottement propres à ce type de matière en vinyle. Ma micro-jupe se révéla un peu. Je posais sur mon genou ma main droite en faisant crisser mes ongles rouges brillant sur le nylon. Monsieur me regardait. Je fis glisser doucement cette main vers l'ouverture de ma jupe, sans aller plus loin. Alice continuait son oeuvre consciencieusement sans rien voir de ce petit manège entre Monsieur et moi. Monsieur me regarda alors intensément. - Camille, pouvez-vous vous approcher, et me montrer vos notes. Je me levais, sachant pertinemment qu'il allait se passer quelque chose. Je m'approchais à la droite de Monsieur. Je voyais la tête d'Alice s'activer sur le sexe de Monsieur. Je montrais mon bloc à Monsieur qui comme d'habitude dans cette position glissait sa main sous ma jupe. Vous portez des collants Camille ? Oui Monsieur, ma jupe est si courte, que les collants sont plus adaptés Adaptés pour qui ? En tous cas pas pour tout le monde Je vous prie de m'excuser Monsieur. Essayons de régler cet impair, voulez-vous Camille ? Et Monsieur remonta sa main sous ma jupe. Il fit glisser ses 2 index très haut au niveau de mon entre jambes, et d'un geste les écarta en formant un V avec ses doigts. Je compris sa demande que j'écarte mes cuisses. Pour la première fois, sa main arriva au niveau de mon sexe. J'étais campé sur les talons aiguilles, la jupe se relevant au fur et à mesure que j'écartais mes cuisses. Camille, expliquez-moi ce trou que je découvre dans votre collant J'étais terriblement gênée. Son index désormais, titillait mon pénis replié dans mon string. Je vous écoute Camille. Reprit Monsieur He bien, quand j'ai une envie, je peux plus facilement accéder à …. Dis-je évasivement sans vraiment répondre. Je commençais à avoir le souffle court. Une envie, j'imagine que cette envie ce n'est pas d'aller aux toilettes, Camille ? Effectivement Monsieur, je ne peux rien vous cacher Soyez plus précise Camille, poursuivit Monsieur en continuant la pression de ses doigts au travers de ma petite culotte. Car à cet instant, je constate que vous êtes trempée. Je dois vous avouer Monsieur que parfois je me touche au bureau Et vous sortez votre sexe ainsi pendant le travail Camille ? Oui Monsieur, dis-je honteuse Comme ceci ? et en disant cela, il sorti mon clito en écartant mon petit string. Il l'avait maintenant bien en main et le serrait doucement. Je commençais à haleter Suis-je sur le bon chemin Camille ? Oui, Monsieur vous avez ouvert la bonne porte. Mon sexe était désormais dur et tendu. Monsieur commença des mouvements de va et vient en tenant mon pénis bien vers le bas. J'avais l'impression qu'il était en train de me traire. Penchez-vous en avant et reprenez votre prise de note Camille, dis Monsieur Et me voilà, ma mini-jupe en vinyle relevée, penchée à 90 degrés sur le bureau en train de me faire masturber tout continuant à prendre de notes sous la dictée de Monsieur. Il semblait imperturbable. Pourtant, il arriva ce qui devait arriver. Monsieur jouit enfin dans la bouche d'Alice et tout cela bien évidemment devant moi. Il termina néanmoins les derniers mots du courrier dans un râle. Alice poursuivait sa fellation pour bien nettoyer le sexe de Monsieur. Monsieur accéléra son mouvement de va et vient sur mon sexe. Je jouis vers le bas à mon tour, les jambes écartées souillant le sol et mes cuissardes en vinyle noir brillant. Mon corps était avachi sur le bureau sans aucune retenue. Je haletais de jouissance et d'épuisement. J'entendis Monsieur s'adresser à Alice Alice, avancez-vous en restant bien à votre place de soumise c'est-à-dire à quatre pattes, et nettoyez ce sol avec votre langue. Alice lécha au sol ma semence comme une petite chienne. Monsieur regardait. Il avait conservé dans sa main mon sexe. Je voyais pour ma part son sexe sortir de sa braguette. A repos il était encore énorme. Je sentis mon clito reprendre. Et Monsieur le sentit bien entendu également dans sa main. Quelle vigueur, Camille ! dit Monsieur Il regarda à nouveau Alice Il en reste sur les cuissardes de Camille, appliquez-vous Alice ! Alice, se mit à lécher mes cuissardes consciencieusement. J'étais désormais devant Monsieur le sexe à nouveau dressé et Alice à mes pieds en train de me lécher les bottes, et cela au sens propre du terme. Monsieur pris alors Alice par les cheveux et releva sa tête au niveau de mon clito, à nouveau en rut. Allez ma soumise, c'est le moment de soulager les tourments de notre insatiable Camille ! Alice pris mon sexe en bouche devant Monsieur. Les mains dans le dos Alice, ordonna Monsieur ; vous aussi Camille C'était le premier ordre que me donnait Monsieur. Le premier d'une longue liste à suivre. Il serra fermement les cheveux d'Alice d'une main puissante et exerça des mouvements de va et vient de la bouche d'Alice sur mon clito. Je ne pus que jouir rapidement tellement la situation était folle. Alice bu à nouveau ma jouissance. Monsieur reprit alors son attitude habituelle Notre pause est terminée Mesdemoiselles. Reprenons notre travail si vous le voulez bien
Le 18 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
Quel scénario, j'aurais aimé être à la place d'Alice.
Le 18 fev
Vall2249
48 • Vall2249
Superbe j'aimerais bien être à sa place
Le 19 fev
LolaMini-Skirt
51 • LolaMini-Skirt
J'ai mes images en tête, c'est très excitant ces situations, quel plaisir j'aurais à les voir in real life ou sur grand écran....
Le 19 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapître 9 – Bunny Girl La semaine tirait à sa fin. Nous étions vendredi soir et le week-end approchait. Monsieur m'appela. J'arrivais dans la minute toujours habillée ultra féminine. Aujourd'hui dans un tailleur Chanel que Monsieur m'avait offert pour le travail réalisé avec Serguei Rostov, de jolis escarpins bicolores et un caraco en soie sur lequel pendait un collier de perles véritables (aussi un cadeau de remerciement, mais cette fois-ci de Mr Rostov lui-même). Son cadeau était accompagné d'un carton d'invitation à le rejoindre dans sa Datcha en Russie pour poursuivre selon ses termes « Nos jeux de mains ». A ce rythme, je risquais de devenir rapidement un Callgirl en version Ladyboy. Mais Rostov avait-il conscience de la femme un peu particulière que j'étais en réalité ? Monsieur m'attendait. Comme à son habitude, il me demanda de passer derrière le bureau et de me mettre à sa droite. Je portais des bas nylon couleur chair ce jour-là et un porte-jarretelles en dentelles ivoire. Pour aller voir Monsieur, je retirais délicatement mon string en dentelles. Monsieur aimait désormais me tripoter le clito en me briefant. Tous les accès devaient être libres. L'exercice pour moi consistait à rester toujours concentrée malgré la situation qui devenait vite torride. Camille, j'organise samedi soir une soirée, dirons-nous, libertine avec quelques couples d'amis parmi mes proches. Oui Monsieur, en quoi, puis-je vous être utile ? Alice sera l'objet de convoitise de notre soirée dont le thème sera le BDSM. En tant que soumise, elle aura une place centrale, une place de choix. J'imagine Monsieur. Elle sera un met de choix. Vous concernant Camille, j'aurai besoin de vous pour deux choses. Je vous rassure je ne prévois pas de vous faire participer. Monsieur aura remarqué que je ne suis pas particulièrement prude, dis-je malicieusement. Oui, je le vois tous les jours un peu plus. Mais je veux vous préserver. Je vous remercie Monsieur, mais j'avoue être toujours en attente de nouveauté. Et dieu sait que vous m'en offrez depuis que je suis arrivée ici, Monsieur J'entends vos attentes Camille. Revenons aux miennes si vous le voulez bien et ce que j'ai décidé pour vous. Samedi soir j'aurai donc besoin de votre assitance - Oui, Monsieur dis-je, tandis qu'il me tripotait encore le clito vers le bas. J'étais incapable de refuser quoique ce soit dans ces moments. Mon cerveau avait glissé dans mon gland trempé d'excitation. Je devenais sa chose. Tout d'abord, j'aurai besoin de quelqu'un qui accueille mes invités dans mon appartement à leur arrivée. Il conviendra de leur prendre leur vestiaire et en début de soirée de servir le champagne et les petits fours ensuite. Serais-je habillée en tenue de soubrette pour cela ? dis-je au comble du plaisir Je reconnais là votre malice érotique Camille, dit-il en souriant mais surtout en accélérant ses mouvements sur mon clito Je haletais de plus en plus. Perdant le contrôle. Ma jupe était désormais relevée jusqu'au hanches Concernant votre tenue, je peux juste vous dire que vous n'en croirez pas vos oreilles Je vous fais confiance Monsieur, dis-je avant de jouir par terre Vous avez encore joui Camille, décidément ! Susurra Monsieur, alors même qu'il en était le principal responsable. Et de poursuivre à mon plus grand étonnement Quel manque de contrôle. Vous mériteriez que je vous fasse nettoyer tout ça Camille ! Et avec votre langue, pour que vous vous en rappeliez ! Un instant, nous nous sommes regardé les yeux dans les yeux. Le temps s'est soudain suspendu. Moi interrogative et lui me regardant puis baissant les yeux vers ma semence, comme une invitation à exécuter à ce qui ressemblait à un ordre. Allons, allons un petit effort Camille, reprenez donc ce qui vous appartient ! dit Monsieur Je savais en faisant cela que je franchissais un nouveau cap. Mais déjà mon clito recommençait à bander et me donnait lui sans hésitation la réponse à la conduite à tenir. Je m'agenouillais aux pieds de Monsieur. Je tendis bien les fesses vers le haut, les deux mains posées à plat autour de mon jus. J'allais me mettre à lécher. Un instant Camille, ne vous précipitez pas. Regardez-moi cela, j'en ai plein la main ! Me dit- il en tendant vers moi la paume de sa main. Ne croyez-vous pas que j'ai la priorité sur le sol ? Si, bien entendu Monsieur, dis-je servilement. J'étais là, à genoux devant lui. Je me penchais alors vers cette main tendue et me mis à lécher sa paume couverte de ma semence. Je lapais à grand coup de langue, comme une chienne le ferait à son maître. C'est bien Camille, vous êtes véritablement à la hauteur de mes espérances. Je vous laisse terminer avec soin le reste de vos débordements. Je veux que le sol de mon bureau soit propre et intact. Donc appliquez-vous ! Je vous souhaite une bonne soirée. A samedi soir. Alice vous amènera votre tenue pour demain. Et il sorti de son bureau sur ces mots. J'étais désormais seule au pied du fauteuil de Monsieur. Je posais mon visage et ma langue au sol. Je gardais cette position en glissant ma main entre mes jambes.Je me mis à lécher frénétiquement mon sperme. Je commençais à me masturber prête à jouir de nouveau. Le contraste était saisissant, j'étais en petit tailleur Chanel, mon collier de perles de culture trainait au sol. Mon visage dévasté par le désir et je me masturbais à quatre pattes. J'étais en train de devenir une chienne obsédée par le sexe, mais sans conteste une chienne de luxe. Epuisée par cette séance, je remontais à mon appartement. Miraculeusement, Alice était déjà donc au courant de mon accord pour la soirée de demain. Je trouvais sur mon lit la fameuse tenue. Il s'agissait d'une tenue de Playmate telle qu'on en voyait dans les années 80. J'allais être déguisée en Bunny-girl. Il y avait un body noir soyeux. Le tissu était très fluide et très fin. Le bas était très échancré, et remontait très haut sur les hanches. Des épaules jusqu'au manches en passant dans le bas du dos, le tissu était en Mesh noir transparent. A côté des collants résille. Et, je découvris enfin la solution à l'énigme de Monsieur, un serre-tête en oreille de lapin en satin blanc. Effectivement, je n'en croyais pas mes oreilles ! Le body au niveau des fesses se terminait avec une petite queue de lapin toute ronde blanche. Malgré mon épuisement je ne pu résister à l'envie d'enfiler ma nouvelle tenue. Au passage du body, je me rendis compte à quel point le tissu était fin et moulait mon corps. L'échancrure au niveau du pubis était si fine qu'elle ne pouvait être adapté qu'à une femme, une vraie. Moi j'avais, mon sexe à loger. Impossible de le mettre entre mes jambes. C'était une nouvelle fois, un coup de Monsieur. Mon sexe était inévitablement remonté devant, moulé par le body. Aucun invité ne pourra avoir de doute sur le type de femme que j'étais en réalité. Une Lady boy. J'étais piégée. Mais déjà mon sexe se mis en position garde à vous. Je compris alors que tout ce qui se passera dans ma tête sexuellement pendant cette soirée sera visible de tous. Samedi soir, à l'heure prévu je me présentais à la porte de Monsieur. Un peu honteuse de mon déguisement et en même temps très en attente de cette soirée. J'avais mis des longs gants soir en satin et surtout mes fameuses oreilles de lapin. Je me sentais ridicule et terriblement vulnérable dans cette minuscule et dérisoire tenue. Monsieur vint m'ouvrir. Ha Camille, parfait vous êtes à l'heure, les premiers invités vont bientôt arrivés. Vous avez bien en tête votre mission ? Accueillir vos invités, prendre leur vestiaire, puis passer avec un plateau pour servir le champagne et les petits fours Oui, c'est bien cela, je suis certain que vous allez vous acquitter de cette tâche à la perfection. Merci Monsieur, j'ai toujours le soin de vous satisfaire en tous points. Bien parlons d'Alice, voulez-vous ? Allons dans le petit salon Je le suivi. Monsieur s'asseya dans un large fauteuil assez haut aux accoudoirs imposants. Venez à ma droite Camille, oui comme cela, tournez-vous un peu, exigea-t-il Il me fit tourner le dos de telle sorte que je lui présentais mes fesses. Il posa son coude sur l'accoudoir et je senti son avant-bras glisser sous mon entrejambe. Ainsi positionné, sa main droite commença à caresser mon clito enchâssé dans le satin de mon body. Commençons le briefing voulez vous Mon sexe était déjà tendu. J'essayais de conserver un semblant de self control. Comme à son habitude Monsieur poursuivais sa conversation comme si tout cela était normal. Il faudra, quand je vous le dirais, aller chercher Alice dans son appartement Monsieur continuait à me caresser en passant son pouce et son index le long de mon sexe en érection. Je me dandinais sur mes talons aiguilles. Vous êtes bien concentrée Camille ? me demanda Monsieur Oui Monsieur, autant que le situation me le permet. Dis-je en haletant Contrôlez- vous Camille, la soirée n'a pas commencée ! Bien, bien Monsieur, dis-je alors que j'avais une terrible envie qu'il sorte mon sexe pour me traire comme il avait l'habitude de le faire. Ou en étais-je ? dit Monsieur sans s'arrêter. Alice, dis-je dans un souffle Oui, c'est cela Alice. Celle-ci sera dans l'incapacité de se déplacer seule. Vous irez donc la chercher. Vous l'accompagnerez doucement dans les escalier. Vous n'oublierez pas de lui mettre sa laisse et de la conduire ainsi en tenant la laisse. Elle portera un anneau, vous verrez. Vous y accrocherez la laisse. Est-ce bien compris, Camille ? Pour toute réponse, je laissais partir un râle de plaisir. Monsieur repris : Et une fois arrivée, vous ferez le tour des invités pour présenter notre soumise et vous finirez en la ramenant devant moi en me confiant la laisse. Est-ce clair Camille ? Ses mouvements s'accéléraient. J'étais au bord de la jouissance. Quand soudain la sonnette de l'entrée retentie. Les premiers invités arrivent. Votre service commence Camille ! J'étais totalement en rut. Le sexe dressé dans mon body en satin. Impossible que Monsieur n'en ai pas fait exprès. J'allais devoir accueillir les invités ainsi : en Bunny girl avec le sexe en érection se dessinant à travers le satin noir de ma tenue moulante.
Le 21 fev
Laetitiatrav
54 • Laetitiatrav
C'est tellement bien écrit et rigolo à lire. Tu nous tiens en haleine et nous sommes excitées de lire tes aventures au point d'imaginer la chance et le bonheur d'être à ta place. Mieux qu'un roman Arlequin. Merci Camille
Le 21 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
Quel récit, ça donne vraiment envie d'être à la place de camille.
Le 21 fev
Miyaou
45 • Miyaou
Cel fait longtemps….…. Tu nous as habitué à moins d'attente entre deux épisodes…. Manque d'inspiration ou de temps…? 😂
Le 24 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Cela ne fait si longtemps mais l'attente fait partie du plaisir dit on. Le prochain chapitre est en cours de rédaction 😊
Le 25 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapître 10 : Premiers pas dans le BDSM En ouvrant la porte d'entrée, je vis d'abord un regard amusé sur mes grandes oreilles de lapin, puis les yeux qui descendirent bien vite vers le bas de mon body. L'homme était vêtu élégamment d'un smoking et la femme d'un long manteau noir fermé. Oh une Bunny Girl pour nous accueillir. Je savais que Monsieur avait de l'imagination, mais là il se surpasse ! Les lapins ont la réputation d'avoir une grande activité sexuelle. Mais quand le lapin se déguise en lapine, je vois que l'intensité redouble. Je ne répondis rien à cette réflexion. J'essayais tant bien que mal de garder ma contenance en souriant telle une hôtesse de l'air qui accueille ses passagers. Je m'appelle Camille et je suis là pour vous servir, dis-je Pour ce qui est de la servitude, j'ai tout ce qu'il me faut avec moi, dit l'homme au smoking avec autorité. Prenez donc le manteau de ma chienne. J'essayais de ne pas avoir l'air surprise. J'ôtais donc le manteau de la femme blonde qui apparue habillée d'une simple guêpière noire, d'un micro-string et des bas noirs. Elle était très jolie et baissait les yeux en signe d'humilité et d'obéissance. L'homme s'adressa à sa soumise : Mets-toi en position. Tu sais où est ta place ! La femme se mit alors à quatre pattes. L'homme me donna également son manteau. Il accrocha une laisse à l'anneau du collier qui entourait le cou de la femme. Je vais garder ma cravache avec moi ! Et il se dirigea ainsi vers le salon où l'attendait Monsieur. Je les regardais partir et je vis alors l'arrière de la femme. Elle avait un énorme plug en forme de diamant planté dans les fesses. La sonnette retentit de nouveau. J'allais de surprise en surprise et la situation ne me permettait pas d'effacer mon érection. Je découvris un étrange couple en ouvrant. Une splendide femme, brune, au regard d'acier habillée d'une jupe fendue jusqu'à la hanche. Et a côté d'elle, une Sissy tout de rose vêtue. Une jupe à froufrou avec un jupon, des bas blancs et de chaussures d'écolières japonaises rose avec une petite sangle. Pour parachever le tout, une perruque blonde avec deux couettes tenues par des rubans de satin rose. Elle tenait un minuscule sac à main dans ses mains gantées de dentelles blanches. La parfaite proie pour cette soirée de prédateur. Oh regarde mon chéri, une femelle comme toi ! dis la femme en parlant de moi. Vous allez pouvoir parler chiffons ce soir en attendant qu'un mâle Alpha veuille bien s'occuper de toi. Mon érection redoublait sans pourvoir la dissimuler. La femme reprit son monologue de dominante en s'adressant cette fois-ci à moi. Je vois que vous êtes encore libre. Dit-elle en regardant mon sexe. Monsieur vous accorde cette liberté. C'est un risque. Toutes les femelles comme vous sont obsédés par le sexe et ne pense qu'à se toucher. Le problème, c'est qu'après, elles sont moins obéissantes, n'est-ce pas mon chéri ? Oui Madame, répondit la Sissy visiblement apeurée Moi, j'ai dû prendre des mesures avec ce qui me reste de mari. Montre à la femelle, dit la femme en parlant de moi à sa Sissy. La Sissy leva sa robe jusqu'aux hanches. Baisse ta culotte idiote, lui dit la femme. Et tiens bien ton ridicule sac à main avec tes deux doigts bien tendus. Tu as voulu ce sac à main pour ton anniversaire alors fait honneur à mon cadeau ! La femelle Sissy, baissa sa culotte en satin rose en conservant tant bien que mal la position du sac à main qu'elle devait gardée. Elle réussit finalement, la culotte glissa le long de ses jambes gainées de bas blancs, pour laisser découvrir un pubis totalement épilé. A la place des poils pubiens, un tatouage avec la mention « Micro-clito de Sissy » et une petite rose dessinée. Je vous rassure, sa condition est irréversible. Reprit la femme. Elle a subi une épilation laser définitive et rien ne repoussera à cet endroit. Je suis tranquille quand mon mari part en voyage à l'étranger. Il a beau être PDG d'un grand groupe, il n'approchera aucune femme avec cette inscription. De toute façon il est en cage en permanence. Et qui voudrait de lui avec son micro-pénis. Il est tout juste bon à lécher. Et encore il faut qu'il s'applique. ET je découvris alors ce que plus tard je sus que l'on nommait « une cage de chasteté ». Le clito de la Sissy était en cage. Et semblait au repos. Voilà comment on garde en permanence une Sissy excitée 24h sur 24. Vous y viendrez je vous l'assure. Alors que vous ? dit-elle en posant son index verni son mon sexe, si je m'en occupais ne serait-ce qu'une minute, vous auriez vidé dans l'instant vos petites bourses de lapine en rut. Et la fête serait finit pour vous. Au lit en attendant votre prochaine érection matinale. He oui, je sais parfaitement comment fonctionne les petites femelles comme vous ! J'étais tétanisé par cet ongle qui crissait sur le satin de mon body. Elle titillait mon gland de son index en me regardant dans les yeux. Mais cela ne sera pas le cas ce soir. Monsieur serait furieux n'est-ce pas ? J'allais répondre quand je sentis les ongles de ses 5 doigts vernis s'enfoncer profondément dans ma verge. Sous l'effet de la douleur, je pliais en resserrant mes genoux comme pour me protéger. Je n'eut même pas le réflexe de mettre ma main pour arrêter cette torture. Je l'ai subi. Mon sexe a immédiatement diminué pour retrouver une petite forme lovée au bas de son body. Voilà qui est mieux petite femelle lapine. Vous me remercierez, croyez-moi ! Je vous remercie Madame, dis-je dans un souffle. Je pense avoir bien retenu la leçon. J'accueillis les autres invités. Il fallait me dépêcher car je devais servir les boissons au salon. Je me dirigeais en priorité vers Monsieur qui était assis confortablement dans un beau fauteuil club en cuir couleur fauve. En face de lui, dans un fauteuil similaire, l'homme en smoking. La scène était quelque peu surréaliste. Les deux hommes discutaient tranquillement pendant qu'à leurs pieds, en position à genoux, se trouvaient deux soumises. La chienne de l'homme en smoking et la Sissy en rose. Chacune d'entre elles s'appliquait à sucer consciencieusement les deux hommes. Les sexes étaient bien dressés. Les deux soumises étaient à leur place c'est-à-dire aux pieds des mâles dominants. Monsieur m'interpella très naturellement comme à son habitude Ha, Camille, nous vous attendions avec impatience. Servez- nous donc une coupe ! Je m'exécutais avec servilité. L'homme au smoking m'interpella : Prévoyez également une gamelle avec un peu de champagne pour ma chienne Monsieur m'indiqua qu'une gamelle pour chien était disponible à la cuisine. Je terminais de servir les invités, puis vint le tour de la chienne. Je revins très vite avec la fameuse gamelle, et versais un peu de champagne pour la soumise. Les invités amusés s'étaient approchés de la scène. Je jouais le jeu totalement et gardant bien tendu mes jambes. Monsieur et les invités voyait mes fesses dressées vers eux. La chienne eu l'autorisation de laper un peu de champagne avant de reprendre la fellation de son maitre. Passez-vous une bonne soirée Camille ? me demanda Monsieur Excellente et je remercie Monsieur de m'avoir donné la chance d'y participer, répondis-je Pourtant il me semble que votre Body est moins tendu que tout à l'heure, d'où ma question? Y a-t-il un problème ? Et se faisant, Monsieur glissa sa main entre mes jambes pour commencer à nouveau à me caresser devant les invités à travers le satin de mon body. Mon sexe se tendit très rapidement. Chacun regardait la pratique de Monsieur à mon égard. Sauf bien entendu les deux soumises qui continuaient à sucer. C'est tant mieux, dit Monsieur. Mais je ne comprends toujours pas pourquoi votre clito avait diminué ? Contre toute attente, Monsieur glissa ses doigts sous mon body et en sorti mon sexe désormais bien dressé. Il commença à me masturber ainsi devant tous les invités. He bien Camille, j'attends vos explications ? J'expliquais alors confusément la précédente scène avec la femme qui m'avait enfoncé ses ongles dans mon sexe en érection. Et qu'avez-vous fait, Camille, quand les ongles se sont enfoncés dans votre clito ? Me demanda Monsieur Monsieur accélérait les mouvements de masturbation. Je haletais en public. Je répondis difficilement en cherchant encore mes mots : He bien, Monsieur contre toute attente je n'ai pas essayé de retirer ces ongles qui s'enfonçaient en moi, dis-je dans un aveu. Voyez-vous, chers invités, Camille découvre notre monde. Mais elle apprend vite. Je suis certain qu'au cours de cette soirée elle sera ouverte à vos suggestions. Mais je vous demanderai de la ménager néanmoins. Elle débute. Monsieur regarda la femme de la Sissy Chère amie, m'aideriez-vous à faire diminuer la tension de Camille. Tension que nous constatons tous ici ? Avec plaisir dit la femme avec un sourire carnassier Monsieur lâcha mon sexe qui se trouva libre pour tomber entre les doigts de cette dominatrice. Elle prit mes couilles dans la paume de sa main et commença à serrer. Et de son autre main, elle commença à nouveau à enfoncer ses ongles dans ma verge. Mais regardez ça, notre petite femelle aux grandes oreilles, reprend de la vigueur ! Effectivement malgré la douleur, mon sexe bandait plus fort Elle aime ça c'est sur. C'est une excellente candidate que vous avez recrutez là Monsieur. La femme accentua la pression en me regardant droit dans les yeux Tu aimes ça c'est sûr, petite femelle, mais c'est moi qui décide ici ! Tu vas me faire le plaisir de réduire ce clito prétentieux, je te l'ordonne !! Elle serra encore plus fort. Les ongles vernis s'enfoncèrent plus profond, jusqu'à ce que je laisse échapper un cri de douleur. Voilà qui est mieux petite femelle ! Rhabille-toi maintenant ! dit la femme en souriant J'étais exténuée. Monsieur me regarda Je suis fier de vous Camille. Après cet apéritif, il est temps de passer au plat principal chers amis. Camille, ayez la gentillesse d'aller chercher Alice. Elle attend depuis suffisamment longtemps.
Le 25 fev
Ninacross37
48 • Ninacross37
Quelle scène fantastique, j'aurais aimé participer
Le 26 fev
Vall2249
48 • Vall2249
Encore très excitant merci
Le 26 fev
StephanieSissy
57 • StephanieSissy
Chapitre 11 : Alice au pays des femelles soumises Je grimpais l'escalier qui menait à notre étage, excitée à l'idée de découvrir Alice. J'entrais dans son appartement en donnant un petit coup sur la porte pour la prévenir de mon arrivée. Elle m'entendit mais ne put me voir. Je découvris l'univers d'Alice. Je la savais bien entendu soumise. Mais là, je découvrais un monde inconnu mais qui était visiblement le sien, celui du BDSM. Alice avait notamment un bandeau sur les yeux qui la rendait aveugle. Pour le reste tout était dans le thème de la soirée. Elle portait une combinaison intégrale en latex noir ainsi qu'une cagoule dans la même matière. Seule ses lèvres dépassaient de celle-ci. Sa bouche était entravée d'un bâillon boule couleur rouge. Doucement je m'approchais et lui dit : C'est moi Alice, je suis chargée de venir te chercher et te conduire au salon de Monsieur où visiblement t'attendent avec impatience les invités. Elle essayait de me parler, mais les sons qui sortaient de sa bouche ressemblaient plus a des petits grognements difficilement intelligibles. Es-tu consentante Alice ? Lui demandais-je Elle hocha la tête en signe d'approbation. Ses bras étaient attachés derrière elle par des menottes. Depuis combien de temps était-elle ainsi ? la situation avait dû lui paraître interminable. Tout était torride. La combinaison était découpée de telle façon que ses deux seins soient libres ainsi que son clito et ses fesses. Je m'approchais d'elle par derrière. Elle était terriblement attirante. Elle semblait offerte, sans aucune défense. Je ne pus résister. Je me collais à son dos. Elle du sentir mon clito tendu se loger le long de sa raie des fesses. Ses seins que je voyais pour la première fois étaient parfait. Le chirurgien esthétique avait réalisé un travail remarquable. Ils étaient d'une bonne taille mais pas trop gros, mais surtout avaient une courbure parfaite. La pointe remontant légèrement vers le haut. Je glissais mes mains par derrière pour atteindre les deux seins. Je commençais à les caresser. Alice geignait de plaisir. En même temps, je me frottais de plus en plus le long de ses fesses. Mon gland était décalotté et frottait sur le satin de mon body. De ma main droite, je descendis doucement vers ses hanches. Sa taille était enserrée d'un corset en vinyle. J'avais envie de descendre vers son sexe. Mais j'hésitais. Je n'avais jamais touché un pénis autre que le mien bien entendu. Je mis mes doigts sur la base de son sexe. Alice frémissait de plaisir. Je m'enhardie en entourant son clito de mon pouce et de mon index. Lentement, je commençais un mouvement de va et vient. Alice avait de plus en plus de mal à maitriser son corps qui se tortillait. Ses mains bloquées à l'arrière par les menottes trouvèrent leur chemin et me saisirent à leur tour mon sexe à travers le satin noir de mon body. Nous étions au bord de la jouissance. Fort heureusement, je découvris sur le pénis d'Alice un objet qui me déconcerta suffisamment pour m'arrêter dans mon élan. En effet, en remontant le long de son sexe, je sentis le contact d'un anneau en métal. Je m'arrêtais et intriguée. Je contournais Alice pour me retrouver face à elle. Alice de son côté, aveuglée par son bandeau, ne pouvait que ressentir mes mouvements. Face à elle, je regardais avec attention. Un anneau était inséré dans son urètre et ressortais à la base du frein. J'appris plus tard que ces anneaux portaient le nom de Prince Albert. L'objet était de bonne taille, assez épais au final. Alice réussi à articuler malgré son bâillon boule deux mots que je compris. La laisse, dit-elle Je compris alors que je devais accrocher la laisse à l'anneau. Assez bizarrement, la laisse avait deux points d'accroche. Je finis par déduire qu'il fallait d'abord accrocher le premier point d'accroche sur l'anneau que portait Alice à la base de son sexe, au niveau du scrotum près des testicules. Puis le deuxième point d'accroche sur le Prince Albert. Le système était ingénieux et protégeait la soumise de tout geste brusque avec la laisse. On conduisait ainsi la soumise par le Prince Albert. Et si le geste du dominant était trop strict, la pression sur la laisse se reportait sur le deuxième anneau. Je mis en place la laisse selon ce principe et dis doucement à Alice : Tu es prête ? Elle opina de la tête. Oui, c'est certain, elle était prête car son clito était tendu, bien droit malgré le poids de la laisse en métal. Je décidais de me mettre à côté d'Alice pour la conduire en mettant mon bras gauche autour de ses hanches. De ma main droite, je tenais devant la laisse avec un peu de tension pour qu'Alice sente bien qu'elle était tenue en laisse comme une petite femelle soumise. Elle risquait de trébucher dans les escaliers avec ses mains entravées par les menottes et le bandeau qu'elle portait sur les épaules. Mes gestes étaient donc très attentionnés. Arrivées devant la porte de l'appartement de Monsieur, je regardais Alice et vérifiais que tout allait correctement pour sa présentation aux invités. La descente des escaliers avait obligé Alice a beaucoup de concentration et au final je remarquais que sont clito avait diminué. Je pris la décision de m'accroupir devant elle pour détacher la laisse du Prince Albert et faire quelques caresses pour lui redonner de la vigueur. Après très peu de va et vient, le clito d'Alice était de nouveau au garde à vous. J'avais le visage à hauteur de son sexe. Je ne pus résister à l'envie folle qui me prit. J'ouvris la bouche et englouti le clito d'Alice. La sensation était nouvelle pour moi et aussi très étrange avec la présence du Prince Albert. Alice couinait de plaisir. Je redoublais ma fellation. Quand soudain la porte d'entrée de l'appartement s'ouvrit. Monsieur me regardait du haut de sa stature avec une supériorité dédaigneuse !! Je comprends mieux pourquoi le temps m'a semblé si long ! dit Monsieur visiblement très agacé de la scène. Je me relevais, tentant d'avoir une contenance. Mais j'étais en faute et je le savais. Monsieur reprit et m'assena cette phrase terrible : Camille, vous êtes ici pour servir, et non pour VOUS servir !! Imaginez la situation si Alice avait joui ! Je suis impardonnable Monsieur, bredouillais-je. C'est la tentation, je n'ai pu y résister Totalement coupable Camille et vous mériteriez une punition. Mais vous n'êtes pas ma soumise mais mon assistante. Je vais donc vous demandez de quitter cette soirée et de rejoindre votre appartement. J'étais désespérée. Je ne voulais pas décevoir Monsieur. J'avais trop de respect pour lui. Sans réfléchir, je me jetais aux pieds de Monsieur en entourant ses jambes de mes bras. J'implorais son pardon Punissez moi Monsieur, je le mérite, mais ne m'excluez pas par pitié ! Monsieur pris un temps pour réfléchir. Alice attendait toujours debout, aveuglé par son bandeau. Et comme à son habitude, quand il réfléchissait il tripotait un clito. En l'occurrence celui d'Alice. Je voyais sa main s'activer, moi à ses pieds, lui dominant le moment tel un roi qui va prononcer sa sentence. Il remit la laisse d'Alice sur son Prince Albert. Et me regarda : Très bien, si c'est votre décision, je vais vous punir. Mais pas comme vous l'imaginez Camille. Je ne vais pas vous fouetter ou donner la cravache comme Alice. Je vais vous frustrer. Nous allons entrer dans l'appartement, vous me suivrez deux pas derrière moi et je vais décider de votre sort. Est-ce bien compris Camille ? Oui Monsieur, dis-je en baissant les yeux honteusement. Monsieur entra dans l'appartement en tête, tenant en laisse Alice attachée par son Prince Albert, menottée, bâillonnée et aveuglée par son bandeau. Moi derrière, deux pas en retrait marchant telle une pénitente. Les invités applaudirent cette entrée et firent des commentaires sur cette soumise que Monsieur leur apportait comme plat de résistance. Mais ils virent très vite que quelque chose avait changer dans mon attitude. Monsieur fit le tour de la pièce présentant sa soumise lentement à l'ensemble des convives. Je suivais toujours la tête baissée deux pas derrière. Monsieur rejoignit son fauteuil, devrais-je dire son trône. Il confia la laisse à la dominante. Sa Sissy était non loin d'elle en attente de ses ordres. Monsieur s'adressa a la dominante. Ma chère, auriez-vous l'obligeance de demander à votre Sissy qui vous sert parfois de mari de bien vouloir lui ordonner de retirer le bandeau, le bâillon boule et les menottes d'Alice. La femme dominante claqua des doigts et la Sissy se mis en oeuvre d'exécuter l'ordre qui venait de lui être donné. Monsieur regardait la scène. Alice cligna des yeux et bougea sa mâchoire. Elle retrouvait avec surprise un peu de liberté. Monsieur reprit la parole en s'adressant à l'homme en smoking. Cher ami, puis-je disposer de votre soumise le temps que je réfléchisse et je vous explique la situation L'homme au smoking regarda sa soumise qui était à ses pieds. Et d'un regard elle s'exécuta en marchant à quatre pattes vers Monsieur. Son sexe était déjà sorti, dressé prêt à être englouti par la soumise. La scène était torride. De dos on voyait les fesses dressées de la femme encadrées des jarretelles noires tendues et le gros plug en forme de diamant qui bougeait au rythme de la fellation qu'elle réalisait. La dominante pris l'initiative de mettre Alice en position de soumise. Elle retira la laisse du Prince Albert et attacha celle-ci au collier que portait Alice à son cou. Comme une chienne, la dominante s'adressa à Alice : Aux pieds, femelle, dit-elle avec autorité Alice se mis à quatre pattes. Visage à terre, ordonna-t-elle à nouveau Alice s'exécuta et mis sa joue droite sur le sol. La dominante tout en gardant la laisse en main l'a laissa prendre au sol. De telle façon qu'elle puisse la glisser entre son talon aiguille et la plante de la semelle de son escarpin. Ainsi, il ne lui resta plus qu'à tirer à nouveau sur la laisse. Alice fut alors bloquée contre l'escarpin de la femme. Lèche chienne, et ne t'arrête que si je te le dis. Monsieur repris la parole tout en continuant à être servilement sucé Mes amis, il vient de se passer un évènement qui ne peut rester impuni. Il expliqua en quelques mots la faute que je venais de commettre. Il reprit Le problème est que Camille n'est pas ma soumise, mais bien mon assistante. En conséquence, je ne peux la punir comme nous le ferions tous avec nos femelles. Mais Camille a insisté et plutôt que d'être privée de cette soirée, elle me réclame d'être punie. Est-ce bien exact Camille ? Oui Monsieur, j'ai bien demandé à Monsieur de bien vouloir me punir en contrepartie de rester présente à cette soirée. Dis-je J'écoutais cela servilement les yeux baissés face à Monsieur. Derrière moi j'entendais haleter Alice. Ce que je ne comprenais pas vraiment d'ailleurs, puisqu'elle était en train de lécher les escarpins de la dominante. Je ne pouvais tourner la tête pour voir ce qui se passait réellement Je vais être magnanime pour cette première faute, dit Monsieur. Je vous propose de priver pendant le reste de cette soirée, mon assistante d'un certain nombre de ses sens. La frustration devrait être suffisante pour qu'elle se souvienne que l'on ne doit pas utiliser une soumise sans l'autorisation de son Maitre. Monsieur adressa un regard de connivence à l'homme en smoking. Je le sentis s'approcher derrière moi. Il me tira les bras en arrière. Je sentis alors le métal froid des menottes d'Alice se poser autour de mes poignets. Je réalisais soudain que son sexe était hors de son pantalon. Il le posa dans les paumes de mes mains et commença un mouvement simulant une pénétration. Je sentais son énorme membre dans mes doigts. Je compris qu'il fallait que je serre mes doigts autour de ce sexe si je ne voulais pas commettre une nouvelle faute. Sans s'arrêter, il prit le bâillon boule et me l'introduisit dans la bouche. Son sexe commençait à dégouliner dans mes mains. Monsieur voyait-il cela ou était-il accaparé par le bâillon que l'on me posait. Puis ce fut la fin inattendue de mes sens. L'homme me posa le bandeau sur les yeux. A ce moment précis, je réussis néanmoins à me tourner et voir la dernière chose qu'il me fut autoriser de voir de cette soirée. Alice derrière moi, toujours en laisse en train de lécher les escarpins de la femme dominante était en train de se faire sodomiser par la Sissy. La femelle en rose portait un harnais avec un gros God noir, très réaliste et d'une taille impressionnante. La Sissy pénétrait Alice en lui tenant les hanches. La soumise en satin rose mimait les mouvements d'un mâle en train de pénétrer une femelle. En cage de chasteté, elle ne pouvait rien ressentir. C'était une humiliation de plus pour cette Sissy PDG en satin rose. Ce fut ensuite le grand noir pour moi. L'homme me conduisit au fond du salon. Je fus alors attachée aux bras et aux pieds. Alice me rapporta le lendemain que l'homme m'attacha debout sur une grande croix en forme de X. Une fois fait, l'homme sorti mon clito de mon body. Il s'adressa à Monsieur en rigolant : Vous avez là une bonne candidate, cher ami, regardez, elle bande déjà ! Et c'était vrai. Je n'eus ensuite que les bruits de la soirée pour seul indice de ce qui se passait. Les haletements des soumises, les coups de cravache. Je bandais sans pouvoir me toucher ni me satisfaire. Monsieur connaissait les ressorts de la psychologie. Je subis ainsi pendant encore deux heures une réelle frustration mais une délicieuse frustration pour cette première soumission. Alice vint me délivrer en fin de soirée et cette fois-ci c'est elle qui vint me soutenir pour monter les escaliers.
Le 04 mar
Ninacross37
48 • Ninacross37
Toujours un scénario haletant et bien décrit que l'on aimerait être présent
Le 04 mar
Vall2249
48 • Vall2249
Superbe vivement la suite merci
Le 05 mar