L’INIATION DE CAMILLE : chapitre 3
Chapître 3 : L'installation à l'étage des « bonnes » Nous allons passer par l'escalier de service. L'escalier principal est réservé à Monsieur et à ses clients ou invités. Monsieur vit au deuxième étage. Et nous au troisième étage. Me dit Alice Alice poursuivit tout en marchant avec grâce sur ses talons aiguilles interminables. J'étais aux anges et la suivait comme un petit chien, les yeux rivés sur ses fesses gainées dans cette jupe en cuir. Et si cela ne t'embête pas, je te propose que nous nous tutoyons. Nous sommes collègues après tout. Et voisins, puisque mon appartement est aussi au 3ème étage. Mais surtout, nous n'avons que quelques années d'écart si j'ai bien lu sur ton CV. Oui avec plaisir. Répondis-je déjà plein de désirs innavoués Je n'arrivais pas à réaliser tout ce qui m'arrivais. Alice montait lentement les escaliers. Ses hanches chaloupaient à chaque marche. La grâce et la féminité à chaque instant s'offraient à moi. Le nylon gainant ses jambes m'hypnotisait. Arrivée à l'étage des bonnes, Alice s'arrêta devant une porte, glissa une clef pour ouvrir le verrou. Et d'un grand sourire me tendit la clef. Voilà, tu es chez toi ! et en disant cela, elle ouvrit en grand la porte. Comme pour le reste, je fus stupéfait par le luxe de l'appartement. Tout dans le détail reflétait le bon goût. C'était très loin d'être une chambre de bonne. Le salon mesurait bien 30 m2 donnant sur une cuisine ouverte entièrement équipée. Voici la chambre avec sur la gauche ton dressing. Il est vide enfin presque, mais il va rapidement se remplir. Tu peux me faire confiance. Je regardais tout cela avec émerveillement. Le seul point que je notais, une fois la surprise passée, c'était le caractère très féminin de la décoration. - C'est superbe et inattendu pour moi, dis-je. C'est très beau, très spacieux mais comment dire ? très féminin n'est-ce pas ? - Oui c'est indiscutable, il s'agit d'un appartement pour un membre du personnel qui par définition, tu l'auras compris, est toujours un membre de la gente féminine, dit Alice en souriant. Elle poursuivit : Installe-toi tranquillement, moi je dois filer avenue Montaigne pour t'acheter tes tenues de travail pour demain. Quelle taille fais-tu et ta pointure ? Je lui répondis Découvre ton nouveau chez toi. Il reste quelques affaires dans la penderie et les tiroirs qui appartenaient à la précédente assistante. Rassure-toi il te restera largement de la place pour tes affaires. Et sur ces mots, elle disparut Je reviens vers 20h avec tes affaires et ton diner. On pourra papoter en dinant ensemble et faire plus ample connaissance, si tu le veux bien ? Bien entendu, j'avais une terrible envie de découvrir mon nouveau chez moi. Je passai mes nuits sur un vieux canapé que l'un de mes potes m'avait prêté pour quelques jours chez lui, à ça ! Ici, j'avais pour moi un véritable appartement meublé. J'ouvris tous les placards de la cuisine, j'explorais la salle de bain en marbre. Je retirais mes chaussures, pour sentir le moelleux du tapis de bain, la douceur des serviettes de douche aussi épaisses qu'elles sentaient bon. Ma chambre avec ce lit King size. Certes c'était très féminin avec cette multitude de cousins en soie. Tout était satiné dans cette chambre de princesse. Même le dessus de lit. Je m'asseyais du bout des fesses sur le bord de mon nouveau lit. Mécaniquement je passais mes mains sur le dessus de lit. Quelle sensation agréable. Tellement inhabituel pour moi ! Je voulais tout voir, j'ouvris le lit pour voir si une nouvelle surprise m'attendait. Un nouveau ravissement. Les draps !! Les draps étaient en soie rose pâle. Passé l'étonnement, je sentis mon sexe frémir. Inconsciemment, je découvrais que cette matière soyeuse provoquait en moi une excitation. J'eus soudain l'envie de m'y glisser et en toute honnêteté de m'y frotter de toute part. J'ouvrais en grand le lit. Et sans réfléchir, je me déshabillais entièrement. Je me lovais dans les draps, me recouvrait en m'agitant comme un asticot. Mon sexe était dressé. Je n'arrivais pas à me contenir. J'étais fou de cette matière. Il fallait que je m'arrête avant de jouir sur les draps. Et le temps passait. Je me levais, nu, le sexe dressé. Je marchais dans l'appartement en respirant profondément pour calmer mon désir. Machinalement, je dirigeais vers la seule pièce que je n'avais pas encore visitée : le dressing. J'ouvrai en grand les placards vides. Le dernier placard me réserva en revanche une surprise. Alice m'avait prévenu que quelques affaires avaient été laissées par l'ancienne assistante. Je découvrais sur les cintres une jupe droite bleu marine et un chemisier couleur ivoire. En au bas du placard une paire d'escarpins noir brillant au talon vertigineux. Mon sexe se tendit à nouveau. Je n'avais pas l'habitude de côtoyer de si près des parures féminines. Mes copines étaient étudiantes et très, … très loin de ces tenues. A droite du placard : trois tiroirs encore. Une dernière surprise ? Le premier vide. J'étais presque déçu. Mais le deuxième !! Je l'ouvrais. Je vis apparaitre un ensemble de lingerie couleur marron glacé, un soutien-gorge, un string assorti en dentelles et …. un porte-jarretelles. C'était la première fois que j'en voyais un, comme disent les enfants, en vrai. Je plongeai ma main dans le tiroir. Le porte jarretelles avaient des attaches très fines. C'était une pièce de lingerie si délicate. Sans réfléchir, je l'enroulais autour de mon sexe. Je commençais ainsi à me masturber. L'excitation était si soudaine. C'était fou. Je voulais jouir. Oui, Oui !!! Et soudain, des petits coups on frappait à la porte. Vite, il fallait que je me reprenne. Je rangeais le tout comme je pus. Je me rhabillais en quatrième vitesse tout de travers. Alice, car c'était bien elle, frappait à la porte à nouveau, j'entendais sa voix. Pieds nus, j'ouvris, les cheveux ébouriffés. Tu en a mis du temps ? Tu as un problème- demanda Alice Non, non …, bégayais-je, j'étais aux toilettes Alice, comme une tour de contrôle scanna la pièce, et en avançant découvrit la porte la chambre, que j'avais laissé ouverte. Le lit béant et les draps en soie rose froissés. Je vois que tu apprécies ton lit, dit-elle malicieusement. Tu as fait une petite sieste ? Oui, répondis-je un peu honteux. C'est la première fois que je dors dans des draps en soie Quand on y a goûté, impossible d'y renoncer. Le contact sur la peau de ces draps, j'adore ! Mais moi je dors avec une nuissette en satin, c'est encore mieux. Je t'assure ! Dit-elle en riant. Alice regarda ma braguette encore tendue de mon excitation Je suis certaine que tu vas aimer toi aussi Sauf que je ne dors pas en nuisette ! dis-je avec un rire qui se voulait naturel A propos, si je me souviens bien, il y a une petite nuisette sous le deuxième oreiller, la précédente assistante voulait que cela soit toujours sous l'oreiller de droite. Tu pourras la ranger dans les tiroirs si tu veux. Ou t'en faire ton doudou ! dit-elle en éclatant de rire à nouveau. Alice était joyeuse et spontanée. Sur ces mots, elle contourna le lit et plongea sa main sous l'oreiller en question et en sorti une mini nuisette en satin noir. Tiens la voici justement. C'est moi qui fait le ménage et le rangement. Je sais où sont les affaires, crois-moi.. Regarde comme c'est mignon. Et d'un geste, elle posa la nuisette sur mon torse. ça t'irait très bien ! dit-elle d'un nouvel éclat de rire Je détournais la conversation comme je le pu. Tu fais le ménage ici ? Je ne comprends pas ? Je t'expliquerai tout cela ce soir si tu veux. Mais c'est vrai, j'ai beaucoup de fonctions ici, une sorte de gouvernante en chef. Et à certains moments de la journée, j'enfile ma tenue de soubrette, notamment pour faire le ménage et au moment du service à table de Monsieur. Tu me fais marcher, dis-je incrédule, croyant que c'était une nouvelle plaisanterie dont visiblement Alice avait le goût. Tu n'y es pas Camille, Monsieur est très strict sur les tenues, à chaque fonction une tenue. Si tu ne me crois pas, tu verras ce soir au moment du diner si une soubrette vient ou non toquer à ta porte avec un plateau. Car ce soir, comme c'est ton premier jour, Monsieur m'a demandé de t'apporter ton diner. Et là tu verras si je plaisantais ! J'étais sans voix He bien, ça te laisse perplexe on dirait. A propos de tenues, je te dépose tes tenues sont que je viens de t'acheter. On regarde cela ensemble demain matin. Il faut que je file, préparer le diner. A toute à l'heure.https://divineva.com/forum/nos-histoires-coquines-23/l-iniation-de-camille-chapitre-3-49831

